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Les collabos des ennemis de la France sont toujours de Gauche !

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Petite piqûre de rappel, mais  tellement d'actualité, en cette époque de guerre où l'Occident doit faire face de nouveau à une forme de nazisme, maquillé en religion pour bénéficier abusivement du parapluie de nos propres lois anti-discriminations et anti-racistes.

Eh oui, la collaboration actuelle des élites médiatiques de gauche et des groupuscules gauchistes (sans oublier les collabos socialistes-nationaux comme Dieudo, Soral, Jérôme Bourbon,...) avec l'islamisme n'a rien d'inédit, elle est même un remake.

Je vous laisse lire la suite, surtout la liste de fin où on retrouve le gotha du communisme, du socialisme et même du sérail maçonnique (soi-disant humaniste) !

Le droitiste

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Copie de l'article de Jean-Patrick Grumberg pour le site www.Dreuz.info

Eh oui, ça fait mal, la vérité dérange explique le Rabbin Haïm Harboun au début d’un article au ton visiblement irrité par la façon dont la gauche morale réécrit sa propre histoire.
« Il est temps que l’on lève le voile posé par les historiens des années 70 et 80 qui se sont largement employés à revisiter l’histoire pour sauver leurs meubles ! » ajoute-t-il naïvement, car nous savons nous qu’aucun voile ne sera levé ni par les historiens, ni par l’éducation nationale, ni par les journalistes, ni encore moins, et cela laisse perplexe, par la droite, qui se laisse diaboliser par les socialistes sans réagir.
Le Rabbin Harboun cite ici Simon Epstein, l’économiste et historien, auteur entre autres de “Un paradoxe français*”. Extraits choisis.
Mensonge de gauche n°1 : les collaborationnistes pendant la seconde guerre mondiale étaient majoritairement à l’extrême droite. C’est tout l’inverse. La majorité des premiers résistants était issue de l’Action Française qui prônait le “nationalisme intégral” et était germanophobe.
Mensonge de gauche n°2 : la gauche pacifiste, antiraciste et philosémite a majoritairement composé la Résistance. C’est tout l’inverse. Les pacifistes ont continué d’être pacifistes sous la botte des nazis (comme les dreyfusards).
Plus précisément, le pacifisme fut le vecteur principal de la collaboration, et les pacifistes furent donc très nombreux à collaborer.
Georges Suarez, qui fut l’ami de Joseph Kessel dans les années 20 et le biographe de Clémenceau et de Briand est un bel exemple de cette logique de gauche qui mène du pacifisme au nazisme. Par souci de réconciliation franco-allemande, il devint, sous Vichy, un pronaziste effréné, et fut le premier journaliste à être jugé pour collaboration : il était proche de la gauche briandiste.
Que la gauche fut dominante dans la collaboration parce qu’elle fut dominante dans le pacifisme est une vérité très dérangeante, et les historiens soucieux d’inculper “toutes les droites”, soucieux de leur faire porter la responsabilité des erreurs, des trahisons et des crimes des années 1940-1944 ont tous un trou de mémoire sur ces quatre années noires.
Nos historiens – de gauche – chargeront Maurras (Action Française) de forfaits commis par des gens, qui, pour beaucoup, étaient des antimaurrassiens endurcis. Ils s’acharneront sur La Roque (les Croix de Feu), qui vraiment n’y était pour rien, tandis qu’ils ignoreront ces pacifistes, intransigeants et candides à la fois, qui se fascinèrent pour l’Allemagne de Hitler.
Et cela dure jusqu’à maintenant…
Simon Epstein, dans son livre, cite entre autres Bernard Lacache, le président de la LICA (ancêtre de l’actuelle LICRA) qui dénonça ces traîtres qui, ayant milité au sein de ce mouvement pacifiste de gauche, se convertirent à la collaboration. Et bien entendu, il n’oublie pas, dans une notice biographique précise, François Mitterrand…
Mais Mitterrand ne fût pas le seul collabo de gauche qui fit la navette :
– Drieu-La Rochelle était-il d’extrême droite avant guerre ? Non. Il était de gauche et philosémite.
– Jean Luchaire, Pierre de Brinon, Alphonse de Chateaubriand : des hommes de gauche.
– Doriot, Déat ? de gauche.
– Cocteau, Aymé, Giono ? de gauche.
– Bergery ? radical de gauche.
– Bertrand de Jouvenel ? de gauche.
– Simon Sabiani, Maurice-Ivan Sicard, Paul Perrin, André Grisoni, Paul Rives, Maurice Levillain, Barthélémy Montagnon, René Chateau, Claude Jamet : tous de gauche, tous collabos.
– Robert Jospin (le père de Lionel) pacifiste intégral, munichois, proche de Marcel Déat : SFIO.
– Camille Chautemps, Georges Bonnet, Maurice Papon, René Bousquet : la gauche radicale.
– Robert Hersant : gauche radicale.
– Charles Spinasse, Georges Monnet : eux aussi de gauche.
– Alfred Baudrillart, Marc Augier, Jean Balestre : tous à gauche.
– Camille Planche, Léon Emery, René Gérin, étaient déatistes et venaient de la gauche.
– Saint-Loup (alias Marc Augier qui, avant guerre, chantait “Au devant de la vie” avec ses camarades juifs des Auberges), Saint-Paulien (alias Maurice-Ivan Sicard, qui avant guerre vomissait dans son “Huron” le fascisme et les fascistes), Roland Gaucher (ex- Roland Goguillot qui militait aux Etudiants révolutionnaires), François Brigneau (Emmanuel Allot, pacifiste de gauche) : des ex-antifascistes, des anciens de la gauche et de l’extrême gauche, et qui devinrent des ordures de la collaboration, puis militants d’extrême droite après la guerre.
– René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy, responsable de la déportation de 54.000 juifs français, l’ami de toujours de François Mitterrand : centre gauche républicain.
– 12 des 17 ministres SFIO de la fin de la III° République furent exclus du parti après guerre pour avoir collaborer avec les allemands.
Qui sera étonné de rencontrer encore la gauche, aujourd’hui, dans le lit de l’islam ?
Mais ce court inventaire de la gauche de la honte demande bien entendu à être complété par le parcours de Georges Gustave Hollande, le père de notre président de la République, dont la fiche sur Wikipedia a été totalement réécrite, et je vous laisse imaginer dans quelle direction ;-)
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Petite liste non exhaustive
des principaux collabos

ALBERTINI (Georges) : Secrétaire des Jeunesses Socialistes; membre de la SFIO et de la CGT. Membre de Institut Supérieur ouvrier, du Comité de Vigilance des Intellectuels antifascistes. Secrétaire général du RNP, parti collaborationniste de Déat. 

AMBROGELLY (Adolphe) : Membre des Jeunesses Communistes, de la CGTU. Premier adjoint au maire d’Arcueil. Membre du Comité Central du Parti Ouvrier et Paysan Français, POPF. Exécuté en septembre 1944.

AUCLAIR (Emile) : Membre du Comité Central du Parti Communiste, puis maire socialiste de Brétigny. En 1940, prend position pour la Collaboration et les accords de Montoire; Arrêté par les FFI en 1944 et libéré par les Américains.

BARBÉ (Henri) : Membre du bureau politique du Parti Communiste en 1927. Puis secrétaire général du PPF de 1936 jusqu’en 1939. Dirigeant du RNP. Secrétaire général du Front Révolutionnaire National, FRN. Condamné aux travaux forcés, libéré en 1949. Se convertit au catholicisme.

BARTHÉLÉMY (Georges) : Député SFIO de Puteaux. Pendant le Front Populaire, réformateur de l’administration des sports. Son objectif est d’ « enrayer la dégénérescence physique et morale de la race ». Membre du Conseil National de Vichy jusqu’en 1941. Assassiné en juillet 1944.

BARTHÉLÉMY (Victor) : Dirigeant du Secours Rouge International (région méditerranéenne). Secrétaire général du PPF de 1941 à 1944. Membre du bureau politique du Front national de 1973 à 1978. 


BELIN (René) : Secrétaire général adjoint de la CGT (N°2 du syndicat, après Léon Jouhaux). Ministre du Travail du maréchal Pétain. Un des signataires de la loi sur le statut des Juifs du 3 octobre 1940.Après la guerre, il fonde le « Front syndicaliste » puis « La Revue syndicaliste », proche de FO. Il est élu maire d’une commune de Seine-et-Marne de 1958 à 1965. 

BERGERY (Gaston) : Député radical. Chef de cabinet d’Edouard Herriot en 1924-25. En 1933, fonde la Front commun contre le fascisme.  Vice-président du groupe radical-socialiste à la Chambre. Membre du Conseil National, puis ambassadeur du gouvernement de Vichy à Moscou, puis à Ankara.

BERNIER (Jean) : Membre du Parti Communiste et de l’Association Républicaine des  Anciens Combattants. Collabore au journal Le Libertaire. Proche des surréalistes. Fondateur, au sein de la CGT, du cercle syndicaliste Lutte des classes. Se rallie au maréchal Pétain. Est nommé en 1942 secrétaire de l’Organisation des Prisonniers de Guerre de la zone occupée. Collabore à des revues nationalistes françaises.

BIDEGARAY (Marcel) : Cheminot révolutionnaire, licencié lors de la grève de 1920. Secrétaire Général de la Fédération Nationale des Travailleurs des Chemins de Fer (CGT). Membre de la SFIO. Trésorier du COSI (Comité Ouvrier de Secours Immédiat), ouvertement collaborationniste. Mort mystérieuse au camp d’internement de Bidache (64).

BILLOUX (François) : Secrétaire général des Jeunesses Communistes de 1928 à 1930. Entre au Comité central du PC en 1926. Député communiste de Marseille. Au moment du pacte germano-soviét que, il écrit au Maréchal Pétain pour se porter comme témoin à charge contre Blum et Daladier au procès de Riom. Quatre fois ministre entre 1945 et 1947. Vice président du groupe communiste à l’assemblée nationale. Membre du bureau politique du PC.BLUM (Léon). 

BONNAFOUS  (Max) : Militant au Parti Socialiste-SFIO, puis à l’Union Socialiste Républicaine.1942 : Secrétaire d’Etat à l’Agriculture et au Ravitaillement (gouvernement Laval).

BONTE (Florimond) : Membre du Comité Central du parti communiste. Député de Paris. Président du groupe des députés « ouvrier et paysan français ». Rédacteur en chef de l’Humanité. Directeur de France Nouvelle. Il écrit à Edouard Herriot, Président de la Chambre des députés, pour le presser de signer l’armistice avec l’Allemagne. 

BOURNETON (Charles) : Cheminot. Permanent du parti Communiste et de la CGTU. Organisateur en zone sud du Parti Ouvrier et Paysan Français. Exécuté sommairement en septembre 1944.

BOUSQUET (René) : Haut fonctionnaire. Réorganise le Fichier central de la police française à partir de 1937, sous les ordres de Marx Dormoy. Haut fonctionnaire parrainé par le sénateur radical-socialiste Maurice Sarraut, patron de presse (La Dépêche de Toulouse), et par son frère Albert Sarraut, député, président du Conseil et ministre sous la IIIe République. Secrétaire général de la Police française de 1941 à 1943. Organisateur de rafles en collaboration avec les nazis. Administrateur de La Dépêche du Midi Toulouse (tendance radicale).

BROUT (Marcel) : Député communiste de Paris. Démissionnaire lors de la signature du pacte germano-soviétique. Membre du Bloc Ouvrier et paysan. Fondateur en 1944 du Rassemblement pour la Révolution Nationale. Condamné en 1948 à 5 ans de dégradation nationale.

CAPRON (Marcel) : Député communiste et maire d’Alfortville.Un des fondateurs du Parti Ouvrier et Paysan Français, collaborationniste de gauche.E mprisonné pendant 2 ans, puis condamné en 1948 à la dégradation nationale à vie avec confiscation de ses biens.

CELOR (Pierre) : Membre du bureau politique du Parti Communiste et délégué auprès du Komintern.  Adhère en 1941 au RNP, puis devient membre du bureau politique du PPF. Devient catholique traditionnaliste.

CHALLAYE (Félicien) : Ancien de l’Ecole Normale Supérieure. Compagnon de Brazza au Congo. Membre éminent de la Ligue des Droits de l’Homme. Ennemi de la colonisation, contre la majorité de la Ligue. Collabore à Aujourd’hui, Germinal, l’Atelier. Dénoncé publiquement comme « Collaborateur » par le Conseil National des Ecrivains (CNE) en 1944-1945. 

CHASSEIGNE (François) : Dirigeant des Jeunesses Communistes, membre du Comité Central du parti Communiste, puis député socialiste d’Issoudun (Indre). Franc-maçon à la loge de Chateauroux « La Gauloise ». Secrétaire général du Comité de Rassemblement pour la Révolution Nationale en 1941. Secrétaire général de l’information du gouvernement de Vichy en 1941. Directeur de la propagande ouvrière en 1943. Commissaire général du Travail, puis secrétaire d’Etat au Ravitaillement en 1944. 

CHATEAU (René) : Député de la gauche indépendante. Membre de la Ligue des Droits de l’Homme. Membre du Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes. Membre du Grand Orient de France à partir de 1935. Créateur de la LPF (Ligue de la Pensée Française). Membre fondateur du RNP, Directeur politique du journal La France Socialiste. 

CHEVENARD (née  VIOLET, Jeanne) : Déléguée à la propagande de la CGT. Secrétaire adjointe de la CGT. Féministe. Adepte de la collaboration franco-allemande. Membre du bureau du journal Au Travail ! Exécutée sommairement le 29 juin 1944

CLÉMENT (Albert) : Membre du parti Communiste. Rédacteur en chef de La Vie Ouvrière de 1929 à 1939. Membre du PPF. Rédacteur en chef du journal Le Cri du peuple. 

COMPÈRE-MOREL (Adéodat Constant COMPÈRE, dit) : Député socialiste du Gard. Compagnon de Jules Guesde et Jean Jaurès. Ecrivain et théoricien du socialisme français. Rallié dès 1940 au régime de Vichy. Avocat de la collaboration franco-allemande. 

COQUELIN (Marcel) : Membre de la CGTU. Secrétaire adjoint du Syndicat de la confection. Nommé par Vichy conseiller municipal de Paris en 1941.

CREYSSEL (Paul) : Député radical-socialiste. Directeur, puis secrétaire général du service de propagande de Vichy de 1942 à 1944.

DÉAT (Marcel) : Ancien combattant héroïque de 14-18; Secrétaire du groupe parlementaire SFIO, député socialiste. Chef de file des néo-socialistes. Déat crée le RNP (rassemblement National Populaire), mouvement collaborationniste de gauche. Il devient ministre du Travail du maréchal Pétain en 1944. Réfugié en Italie après la guerre.

DELAISI (Francis) : Militant pacifiste. Membre de la Ligue des Droits de l’Homme et du Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes. Collabore à La Vie Ouvrière et La Guerre Sociale. Economiste de gauche. Cadre du RNP. Collabore àL ’Oeuvre, à L’Atelier, à Germinal(journaux collaborationnistes). 

DESNOTS (Jean) : Ancien membre du comité central du Parti Communiste. Passe au trotskisme en 1935. Membre du RNP. Rédacteur au journal L’atelier.

DESPHELIPPON (Francis) : Membre du PC, puis du PS-SFIO. Responsable des Amicales socialistes. Membre du RNP. Membre du comité directeur du Front Révolutionaire National.

DIRR (Raymond) : Adjoint au maire communiste de Pierrefitte. Membre du PPF. Abattu le 44 mai 1943. 

DORIOT (Jacques) : Secrétaire général des Jeunesses Communistes. Membre de l’exécutif du Komintern. Membre du Comité Central du parti Communiste. Député-maire de Saint Denis.Créateur du PPF en 1936, et chef suprême de ce parti collaborateur et pro-nazi pendant la guerre. Il revêt l’uniforme nazi sur le front de l’Est en 1941 et en 1943. 

DUBOIN (Jacques) :Député républicain de gauche de Haute-Savoie. Sous-secrétaire d’Etat au Trésor de Joseph Caillaux. Anime le Mouvement Français pour  l’Abondance. Collaborateur de La France au Travail.

DUMOULIN (Georges) : Mineur gréviste après la catastrophe de Courrières (1906). SFIO. Membre du Comité confédéral national de la CGT. Franc-maçon.Un des dirigeants du RNP, dirigeant de sa filale ouvrière, le Centre Syndicaliste de Propagande (CSP). Collabore au journal L’Atelier (sous le pseudonyme de Georges Dharnes). Collabore à Itinéraires, revue catholique de Jean Madiran.

DUTILLEUL (Pierre) Secrétaire de la Fédération Communiste du Nord. Dirigeant du Secours Ouvrier International. Membre du bureau politique du PPF.  Préside la commission centrale de contrôle politique du PPF.

FAURE (Paul) : Député socialiste. Refuse de témoigner en faveur de Léon Blum au procès de Riom. Siège au Conseil National de Vichy. Antirésistant. Exclus de la SFIO en 1944. Fonde la Parti Socialiste Démocratique.

FÉGY (Camille) : Signataire du manifeste du surréalisme en 1925. Secrétaire de rédaction de l’Humanité. Membre du PPF. Rédacteur en chef du journal La Gerbe.

FERNANDEZ (Ramon) : Ecrivain d’extrême gauche, fils de l’ambassadeur d’Argentine à Paris. Un des créateurs, entre les deux guerre, de l’hebdomadaire de gauche Marianne. Membre du bureau politique du PPF.  Animateur des Cercles Populaires Français. 

FOIRIER (Roger, dit FOLK) : Militant trotskiste. Dessinateur des affiches de propagande des Jeunesses Nationales Populaires.

FONTENOY (Jean) : Militant communiste. Puis crée avec Eugène Deloncle le Mouvement Social Révolutionnaire .Collaborateur et aventurier notoire. Un des fondateurs du RNP. Directeur de l’hebdomadaire Révolution Nationale. Membre de la LVF sur le front de l’est.

FROIDEVAL (Raymond) : Membre de la CGT. Secrétaire du syndicat des serruriers de la Seine. Spécialiste de l’enseignement professionnel. Membre du cabinet de René Belin, ministre du Travail, en 1944-1942. Fondateur du journal Le Front Syndicaliste.

FROSSART (Ludovic-Oscar) : Fondateur du parti Communiste Français en 1920, puis député socialiste. Plusieurs fois ministre entre 1935 et 1940, dans les gouvernements de gauche. Fonde la revue vichyste Le mot d’ordre. Mais étant juif, il ne peut la diriger. Membre du Conseil National de Vichy.

GAILLEDRAT (André) (dit MORGAT) : Membre du Comité Central du Parti Communiste Internationaliste (PCI). Rédacteur de la revue La Vérité. Membre du RNP.

GINOLLIN (Denise) : Dirigeante des Jeunesses Communistes. Négocie avec les services allemands et plus précisément le lieutenant Weber de la Propaganda Staffel la reparution du journal L’Humanité

GIRE (Marcel) : Responsable du Secours Rouge International. Candidat communiste à Gannat pour les législatives de 1936 .Inspecteur régional du PPF. Exécuté sommairement à la Libération.

GITTON Marcel (GIROUX, dit ) Secrétaire confédéral de la CGTSecrétaire du parti Communiste, député communiste de la Seine.F ondateur du Bloc Ouvrier et Paysan. En 1941, collabore au Cri du Peuple, organe du PPF.

GRISONI  (André) : Député-maire radical de Courbevoie. Franc-maçon, membre de la loge parisienne « Emile Zola ».Maire de Courbevoie jusqu’en juillet 1944. Président de l’Union des maires de la Seine. Membre du RNP.

GUILBAUD (Georges) : Militant communiste, ancien des Brigades Internationales. Plénipotentiaire du gouvernement de Vichy. Ambassadeur de France auprès de la République de Salò.

HUEBER (Charles) : Député communiste du Bas-Rhin. Se rallie au national socialisme. Nommé par les autorités allemandes en 1942 membre du Conseil municipal consultatif de Strasbourg. Mort en 1942.

JACOB (Henri) : Membre du Comité central du PC. Délégué au Comité Exécutif de l’Internationale Communiste. Membre en 1944 du RNP, puis en 1943 du PPF. Rédacteur au Cri du peuple. Condamné aux travaux forcés à perpétuité.

JAMET (Claude) : Universitaire. Secrétaire de la Fédération socialiste de la Vienne. Membre du Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes. Directeur du journal La France socialiste (Collaborateur). Père de Domnique Jamet, journaliste, et  Alain Jamet, membre du bureau politique du Front National.

JOSPIN (Robert) : Militant pacifiste, membre de la SFIO. Le père de Lionel, qui a caché son passé trotskiste. Rédacteur à Germinal. Conseiller municipal de Meudon en 1944, nommé par le gouvernement Laval. Epuré et exclus de la SFIO en 1944, qu’il réintègrera quelques années plus tard. 

LAFAYE (Gabriel) : Député socialiste de la Gironde depuis 1928. Sous-secrétaire d’Etat au Travail en 1938. Membre de la commission permanente du RNP. Théoricien du parti unique. Fondateur du journal L’atelier et collaborateur à La France socialiste.Condamné en 1948 à l’indignité nationale à vie.

LA FOUCHARDIÈRE (Georges De) : Rédacteur au Canard Enchaîné. Anticlérical et anarchiste. Rédacteur à L’Oeuvre de Marcel Déat. 

LAGARDELLE (Hubert) : Penseur socialiste et théoricien du syndicalisme révolutionnaire et de la grève générale. Il fonde la revue Le Mouvement Socialiste en 1899. Adversaire de gauche de Jean Jaurès. Admirateur de Mussolini. Ministre du travail de Pétain. Puis il devient  rédacteur en chef du journal collaborateur de gauche La France Socialiste. Un des théoriciens de la Révolution nationale.Condamné à la prison à perpétuité en 1946.

LAPORTE (Maurice) : Fondateur et secrétaire général des Jeunesses  communistes. Collaborateur de la presse doriotiste. 

LAVAL (Pierre) : Avocat des organisations ouvrières et syndicales. Député socialiste. Ministre.Chef du gouvernement de Vichy. Le grand artisan de la Collaboration.Condamné à mort et exécuté.

LEVILLAIN (Maurice) : Conseiller municipal socialiste-SFIO de Paris ; Conseiller général de la Seine.Vice-président du RNP, membre de la Commission permanente.Condamné aux travaux forcés à perpétuité.

LUCHAIRE (Jean) : Un des dirigeants des Jeunesses Radicales. Fonde en 1940 Les Nouveaux Temps.  Président de la Corporation nationale de la Presse Française. Condamné à mort et fusillé le 22 février 1946.

MAHÉ (André) (dit Alain SERGENT) : Militant communiste en 1936, puis anarchiste. Rédacteur au journal Le Libertaire. Fondateur de la Bourse du Travail de Nemours. Membre du PPF, puis du MSR.  Co-signataire, avec Raymond Abellio, du livre raciste et national-socialiste La Fin du Nihilisme. 

MARION (Paul) : Membre du Comité Central du Parti Communiste. En 1929, membre du bureau de propagande du Komintern. Adhère en 1936 au PPF. En 1942, siège dans le gouvernement de Vichy en tant que Ministre de l’Information et de la Propagande. Président du Comité des Amis de la Waffen SS française. Condamné à dix ans de réclusion criminelle.

MARQUES-RIVIERE (Jean RIVIERE, dit) : Membre de la Grande Loge de France. De 1941 à 1944, rédacteur en chef des Documents Maçonniques. Actif au ministère de la Justice de Vichy contre ses anciens co-religionnaires.

MARQUET (Adrien) : Député-maire socialiste de Bordeaux. Partisan actif et déclaré de la Collaboration. Condamné à 10 ans d’indignité nationale.

MARCHANDEAU (Paul) : Ministre radical.  Franc-maçon membre de la loge de Reims« La Sincérité ». Jusqu’en 1944, président de l’Association des Maires de France. PDG de L’Eclaireur de l’Est, journal collaborationiste dont plusieurs éditoriaux étaient franchement antisémites. L’Eclaireur de l’Est est interdit après la guerre, et les journalistes condamnés. 

MARSCHALL (Marcel) : Membre du Parti Communiste. Membre du PPF. Maire de Saint Denis et Conseiller général de la Seine. Condamné à mort en janvier 1948, peine commuée en travaux forcés à perpétuité.

MASBATIN (Armand) : Secrétaire de l’Union CGT des syndicats de la Haute-Vienne. Membre du Conseil National du gouvernement de Vichy. Collabore au journal Au Travail. Exclus à vie de toute organisation syndicale.

MÉRIEUX (Oscar) : Premier adjoint au maire communiste de Stains.Membre du PPF. Collabore au journal Le Cri du Peuple. Arrêté en Italie et écroué à Fresnes.

MESNARD (René) : Socialiste dès 1916 ; syndicaliste CGT. Membre du RNP. Dirige le journal L’Atelier. Créateur du Centre Syndicaliste de Propagande, puis du Front Social du Travail. Président du COSI. Se réfugie en Allemagne. 

MILLION (Francis) : Orateur CGT. Directeur du quotidien cégétiste Le Peuple jusqu’en 1936. Secrétaire général à la Main d’Oeuvre et aux Assurances sociales du Maréchal Pétain.

MONTAGNON (Barthélémy) : Député socialiste de Paris, Franc-maçon. Auteur de Grandeur et servitude socialiste (1929). Membre de la Commission Permanente du RNP. Collaborateur de L’Oeuvre et des Nouveaux Temps. 

MONTIGNY (Jean) : Collaborateur de Joseph Caillaux. Député radical de la Sarthe. Membre du Conseil National du gouvernement de Vichy en 1944.

MONZIE (Anatole de) : Député socialiste, sénateur, plusieurs fois ministre. Admirateur de Mussolini, Partisan des accords de Munich, modèle de la tolérance à la française. Ecrit dans divers journaux collaborateurs de gauche comme Le Rouge et le Bleu.

OUETTE (Marcel) : Dirigeant des Jeunesses Communistesà Saint Denis. Membre du PPF. Se réfugie en Allemagne.

PAPON (Maurice) : Haut fonctionnaire républicain. Pendant la guerre, secrétaire général de la préfecture de Gironde et organisateur de convois de déportation. Milite à la Ligue d'action universitaire républicaine et socialiste aux côtés de Pierre Mendès France. Il est introduit par son père auprès d'amis politiques députés, très influents dans le Parti républicain, radical et radical-socialiste. 

PAQUEREAUX (Marius) : Maire communiste d’Athis-Mons. Membre du PPF. Exécuté sommairement en 1944.

PEMJEAN (Pierre Lucien) : Arrêté pour anarchisme en 1893. Directeur littéraire, écrivain et journaliste antisémite dès sa sortie de prison et jusqu’à sa mort en 1945.

PEYROUTON (Marcel) : Franc-maçon, membre de la loge parisienne « Action ». Ministre de l’Intérieur du gouvernement de Vichy. Un des signataires de la loi sur le statut des Juifs du 3 octobre 1940. Arrêté en 1944.

POISSON (Roger) : Combattant dans les Brigades Internationales. Militant au Parti Socialiste Ouvrier et paysan, PSOP. Membre du RNP. Puis cadre la Milice.

RENAUD Henri (JACOB, dit ) : Délégué de l’Internationale Communiste. Membre du PPF. Collabore au journal Le Cri du Peuple.

RENON (Fernand) : Vice-président de la Fédération des Oeuvres Laïques (FOL) de Seine-et-Oise. Membre de la LPF.

RICHE (Paul) (MAMY Jean, dit) : Vénérable de la loge « Ernest Renan » du Grand Orient de France. Partisan affiché de la Collaboration dès 1940. Rédacteur à L’Appel. Condamné à mort et fusillé.

RIVES (Paul) : Philosophe. Député socialiste de l’Allier. Membre du Grand Orient de France. Membre du RNP de Marcel Déat. Directeur du journal L’Effort. Collabore au journal Le Rouge et le Bleu.

RIVET (Jules) : Franc-maçon et anarchiste. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il écrit des articles dans Le Petit Parisien, devenu journal de collaboration. Il ne reviendra pas à la rédaction du Canard enchaîné, à la Libération, mourant 18 mois plus tard. 

RIVOLLET (Georges) : Franc-maçon. Député de gauche, Ministre des Anciens combattants, membre de la direction du RNP.

ROCHE (Emile) : Membre du Comité Exécutif du Parti Radical. Membre de la Grande Loge de France (« Les amitiés internationales »). Collaborateur des Nouveaux Temps, quotidien du soir de la presse collaborationniste française

SABIANI (Simon) : Député communiste, puis député socialiste de Marseille. Responsable du PPF à Marseille. Il est aussi secrétaire général de la LVF en zone sud. Réfugié en Espagne. 

SABLEAU (Maurice) : Secrétaire des Jeunesses Radicales. Membre du Comité de Rassemblement pour la Révolution Nationale.

SAINT-LOUP (Marc AUGIER, dit ) : Membre éminent du Centre Laïc des Auberges de jeunesse. Membre du Parti Socialiste, du Syndicat National des Instituteurs, et du cabinet Léo Lagrange dans le gouvernement du Front Populaire (1936). Membre de la LVF. Fondateur du journal Le Combattant Européen. Collabore à La Gerbeet à Devenir, organe des Waffen SS. En 1944, officier politique de la brigade de Waffen SS « Charlemagne ». S’enfuit en Argentine. Revient en France en 1950. 

SILLY (Roland) : Secrétaire de la section CGT des techniciens. Membre du parti Socialiste SFIO. Un des dirigeants du RNP. Chef des Jeunesses Nationales Populaires.

SOUPAULT  (Ralph) : Caricaturiste politique à L’Humanité, puis à L’Action Française. Secrétaire général du PPF pour Paris-ville. Dessinateur vedette de Je Suis partout.Se convertit au christiannisme. Dessinateur à Rivarol sous le pseudonyme de Leno.

SOUPÉ (Fernand) : Maire communiste de Montreuil. Membre du Comité central. Membre du PPF. Condamné pour « intelligence avec l’ennemi » et « complicité de séquestration ». 

SPINASSE (Charles) : Député-maire socialiste de Tulle. Ministre de l’Economie du Front Populaire en 1936. De 1940 à 1942, Directeur de l’hebdomadaire collabo Le Rouge et le Bleu. Exclus de la SFIO à la Libération. Soutien J. Chirac dans les années 60. .

TASCA (Angelo) : Un des fondateurs du parti Communiste italien. Représentant du PCI au sein de l’Internationale Communiste en 1928. Se réfugie à Paris et adgère à la SFIO en 1934. Partisan de la collaboration après la victoire allemande de 1940. Ecrit dans l’Effort des articles en faveur de la collaboration. Il devient haut fonctionnaire du gouvernement de Vichy, en charge de la propagande de la Révolution Nationale. Père de Catherine Tasca.

TEULADE (Jules) : Secrétaire de la fédération CGTU du Bâtiment. Secrétaire fédéral du PC de Seine-et-Oise, puis délégué de l’Internationale Ouvrière pour l’Algérie. Collabore au journal L’Humanité. Créateur et membre du bureau politique du PPF. Dirigeant du COSI (Comité Ouvrier de Secours Immédiat). 

THUROTTE (Pierre) : Conseiller municipal socialiste de Saint Quentin. Délégué national à la propagande du mouvement antifasciste Amsterdam-Pleyel. Membre du bureau politique du PPF, secrétaire national à la propagande.

VINCENT (Émile BOURGÈRE, dit ) : Collaborateur du journal L’Humanité. Chef du bureau de presse du PPF.

YVETOT (Georges) : Né en 1868. Anarcho-syndicaliste, un des fondateurs de la CGT. Secrétaire des Bourses du Travail. Rédacteur au journal Le Libertaire. Animateur du COSI. Propagandiste de la Révolution nationale du Maréchal. 

ZORETTI (Ludovic) : Fondateur du syndicat universitaire SNE-Sup. Universitaire et écrivain de gauche. Collabore au journal L’Oeuvre ainsi qu’à L’Atelier. Délégué du RNP pour la zone sud, il est aussi un des dirigeants du COSI. Condamné à sept ans de réclusion ; meurt au camp de Carrère, près de Villeneuve sur Lot.

ZUCARELLI (Guy) : Membre du parti radical, proche d’Aristide Briand. Rédacteur en chef jusqu’en 1942 de Notre Temps, journal collaborateur et pro-nazi .

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