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Le monde des bisounours

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Les régimes communistes et islamistes ont en commun d’attirer les bisounours du monde entier. Plus besoin de faire des efforts politiques pour montrer patte blanche, suffit juste d’enfiler le costume de Grosbisou !

Dernier exemple en date : Cuba. Des médias, en passant par le Pape, et même le président de la première puissance mondiale, se bousculaient pour venir faire un calinou au soi-disant nouveau régime tout doux.

Sauf qu’on vient d’apprendre, en clôture du 7e congrès du PCC (Partido comunista de Cuba), qu’aucun changement n’aura lieu. Le parti unique n'a fait aucune annonce significative et n'a procédé à aucun remaniement. Les caciques du régime, anciens militaires, vétérans de la révolution, proches des Castros, restent aux commandes. On tourne sur une moyenne d’âge entre 75 et 80 ans ! ! ! On a même eu le droit à la présence du vieux dictateur en guest star !

Je suis mauvaise langue, une concession a bien été accordée aux partisans du changement : la limitation à 70 ans de l'âge des principaux dirigeants de l'Etat. Mais cette réforme ne doit entrer en vigueur qu'en 2021 ! ! ! Tu m’étonnes !


Le Droitiste


Autre bonne nouvelle du moment

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Je la savoure aussi celle-là. Je veux parler de la fin probable de TV-Bobos (>> lire article des Echos), cette caisse de résonance du gauchisme branchouille, repère des animateurs poudrés (du nez) et des peoples de la génération Mitterrand. 

Trente années de bien-pensance médiatique, où le Tout-Paris de gauche se bousculait avec son badge SOS Racisme, son ruban rouge du sidaction, ses têtes déconfites après la mort de Coluche ou Lady Di. Trente années de propagande savamment distillée derrière cet écran de fumée intitulé "Esprit Canal", une astuce consistant à faire de la retape post-soixante-huitarde, planqué derrière l’humour potache et la pop culture du moment. Rajoutez un leurre cinéma et de l’exclu sport en guise de camouflage, vous avez la recette pour tenir 3 décennies !

De l’anti-américanisme des "Guignols"à l’anti-capitalisme du "Bidule" (ou de "L’Effet Papillon"), de la haine anti-française des "Dechiens" et de "Groland" (sans oublier "François le Français" d’Omar et Fred) au brocardage en règle des politiques de la droite ultra pendant le "Grand Journal", … Canal + avait le mérite d’afficher la couleur !

Même sur la fin, ils n’ont pas lâché le manche avec la série "Baron Noir", sitcom dédiée au Parti Socialiste (fallait le faire !) ou le "Petit Journal" de Yann Barthés, spécialisé dans la chasse à l’électeur de droite le plus ridicule en interview filmée, lors d’un meeting !

A vrai dire, personne ne m’a jamais obligé à regarder cette chaîne et elle a parfaitement le droit d’exister. Non, le truc qui me fout les boules, c’est que j’ai grandi sans avoir eu le droit à une chaîne de droite en contrepartie. Il est probable que je clamse sans jamais en voir une en France ! Et ne venait pas me dire que BFM TV ou TF1 sont de droite, … un peu de sérieux SVP ! 

Le Droitiste



Ma phobie de l’islam s’arrête là où commence ma haine du communisme

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Je veux bien tout entendre, mais venir faire du révisionnisme pro-soviétique par islamophobie tout azimut, relève de la psychose caractérisée. 

En effet, je veux prendre la défense de la gagnante tatare du concours de l’Eurovision 2016, et sa chanson dédiée à son peuple, victime de la déportation communiste.

Profitez-en, car ce ne sera pas souvent que je prends la défense de musulmans, vu le silence assourdissant des ces derniers envers la dérive contemporaine de leur religion, son dogmatisme néo-moyenâgeux et son retour affiché au litteralisme arabo-crétin. 

Je ne suis pas un spécialiste du peuple tatar, mais je peux me prévaloir d’une assez bonne connaissance des crimes du communisme durant le dernier centenaire, particulièrement en Union Soviétique. Venir nous expliquer que les Tatars de Crimée ont mérité leur déportation dans les goulags, à cause d’une collaboration avec l’occupant allemand en 1941, c’est servir la soupe au stalinisme. Pas moins ! Surtout quand on se souvient des promesses faites aux tatars par Lenine en échange de leur aide contre les Russes blancs et sauver la révolution rouge.

Peut-on sérieusement croire que Staline, celui du pacte germano-soviètique, était un antinazi convaincu ? Allez dire cela aux juifs du ghetto de Varsovie, pour lesquels il n’a pas bougé le petit doigt (l’extermination se déroulait sous les yeux de ses troupes, stationnées non loin) ! 

Croyez-vous sérieusement au seul prétexte de "collaboration avec l’ennemi" pour déporter massivement un peuple, de la part du plus grand génocideur de l’humanité, après Mao ? Avant les Tatars, il avait déjà commencé à se faire la main,… et continuer même après. 

Petit rappel pour les amnésiques : 

-Déportation des Coréens
-Déportation des Allemands
-Déportation des germanophones et finnois de l'oblast de Leningrad
-Déportations des Karatchaïs
-Déportation des Kalmouks
-Déportation des Tchétchènes et des Ingouches
-Déportation des Balkars de Kabardino-Balkarie
-Déportation des Arméniens
-Déportation des Azéris
-Déportation des Grecs
-Déportation des Meskhètes
-Déportations de citoyens des États baltes, de Polonais et de Moldaves
Je pourrais rajouter la tentative avortée, sous couvert d’incitation, des juifs avec la création du Birobidjan.

Il me semble d’ailleurs qu’en 1967, un décret supprima les accusations portées contre les Tatars de Crimée déportés, et un retour massif fut programmé en 1989. Comment pouvait-il en être autrement face à une injustice comme celle-là ? C’est qu’il fallait aussi donner des preuves de repentances aux autres tatars de la Volga, dont la république autonome du Tatarstan (une des plus riche de la Russie) était en passe de demander son indépendance (comme la Tchétchénie) après l’effondrement de l’URSS. 

A la fois, le père Poutine aurait tout intérêt, lui aussi, à ne pas trop jouer avec le feu. Autant, il a raison de chercher des noises à un Erdogan crypto-islamiste, autant il devrait faire gaffe à ne pas radicaliser ses propres concitoyens turcophones, se revendiquant pour beaucoup, d’un islam modéré ayant fait ses preuves (imperméable au Wahhabisme et au Salafisme, emprunt d’hanafisme et de soufisme, ayant fait allégeance à la Sainte Russie – sorte de dhimmitude inversée). Parcequ’il y a du monde au portillon : Tatares, Balkars, Nogaïs, Koumyks, Bachkirs, …. Auxquels on peut rajouter les turcophones des pays frontaliers : Kazakhs, Turkmènes, Ouzbeks, Kirghizes, Azeris, Karakalpaks, et même les Ouïghours (pas si loin). Sans oublier les autres musulmans (non turcophones) solidaires de la Oumma russe.

Même christianisées ou animistes, les autres ethnies turcophones de Russie ne verraient pas d’un très bon œil, la stigmatisation des Tatares : Khakasses, Tchouvaches, Iakoutes, Altaïens, Touvains, Tofalars. Les vestiges d’une colonisation d’un continent, dont personne ne dénonce les abus, plus occupé à cracher sur celle du continent américain à l’Ouest.



La Russie a aussi pas mal contribuée au développement de l’islamisme dans le monde (>> lire mon ancien article), faudrait peut-être éviter de recommencer les bêtises !

Pour finir, je relis les paroles de la chanson gagnante de la jeune Tatare, nous serions assez mal placés pour venir lui faire la morale politique : on dirait les paroles de la Marseillaise.
Quand des étrangers arrivent
Ils viennent dans votre maison
Ils vous tuent tous
Et disent
Nous ne sommes pas coupables
Pas coupables
Le Droitiste

Les nouveaux masques de l’extrême gauche

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Il va falloir s’y habituer et réagir en conséquence : non seulement les discours de haine anti-française et anti-occidentale s’invitent désormais dès l’ouverture de tout nouvel espace médiatique, mais leur condamnation et l’éviction de celles et ceux qui les portent n’apparaissent plus ni comme une évidence, ni comme une nécessité. Le patient travail menée par l’extrême gauche depuis 10 ans pour retrouver sa crédibilité et une certaine légitimité porte ses fruits : en redéfinissant pour servir ses propres fins les concepts d’ altermondialisme, d’écologie et d’immigration, elle est parvenue en l’espace d’une quinzaine d’années à faire son retour sur la scène politique, tout en laissant croire qu’elle n’existait plus et en disqualifiant celles et ceux qui continuaient à la dénoncer. Un tour de passe-passe dont il est urgent de révéler l’imposture, en appelant un chat un chat, et en rafraîchissant la mémoire à celles et ceux qui, frappéEs d’une candeur amnésique, laissent entrer le loup dans la bergerie.

L’extrême gauche peine à assumer totalement et publiquement son projet de société, surtout en raison de l’encombrant héritage de ses expériences passées, stalinisme et maoïsme : au lendemain de la guerre froide, elle n’a pu faire son retour qu’en avançant masquée, et en faisant croire qu’elle sortait de nulle part. Bien qu’il existe toujours à l’extrême gauche des nostalgiques revendiqués de la révolution culturelle ou de l’URSS (Bloc Rouge, PCOF,…), il faut bien reconnaître que c’est aujourd’hui une position marginale, et que la plupart des groupes contemporains revendiquent au contraire une certaine modernité et une virginité politique.

Ravalement de façade

Le Front de Gauche, son principal représentant, pourtant fondé par d’authentiques héritiers du communisme historique, a su, en quelques décennies, se faire passer pour un parti qui défend la démocratie et la république, voire même, récemment, pour un parti du système, tout en conservant ses fondamentaux anticapitalistes et marxistes : se prétendant «rassembleur de toute la gauche», le Front de Gauche ne veut plus pouvoir être situé à l’extrême-gauche, afin d’apparaître comme l’unique recours de gauche, et de pouvoir ainsi élargir sa clientèle électorale (laissant croire que l’extrême gauche vaut la peine d’être «essayée», comme si elle n’avait jamais été au pouvoir).

NPA

Du côté de l’extrême gauche radicale, le même tour de passe-passe a été opéré au début des années 2000 par le "NPA" : également fondé par des trotskistes radicaux, le mouvement a réussi à se débarrasser en partie de son folklore communiste (en particulier en ce qui concerne le logo avec la faucille), sans rien lâcher sur le fond, mais en offrant une vitrine moderne, susceptible de faire venir à lui une jeunesse issue d’une génération jugée moins hostile que par le passé (car moins politisée), en particulier en noyautant les rassemblements de jeunes.

Pour parvenir à ce résultat, les uns et les autres ont joué sur une certaine confusion, afin de brouiller leur image et de tenter de rendre caduque la notion même de communisme. Malgré cela, en raison d’une certaine constance idéologique et surtout du parcours de leurs cadres et de leurs dirigeants, ces mouvements restent généralement catalogués à l’extrême gauche de l’échiquier politique, ce qui les rend toujours infréquentables pour une majorité importante de la population. Enfin, ces formations politiques, très attachées au chaos social, quel qu’il soit, et voyant l’ombre du «fascisme» derrière toute forme de rétablissement de l’ordre, sont généralement plutôt enclines à semer le chaos qu’à le dénoncer.

Une "liberté d’expression" très sélective

De façon assez cocasse, et sans que personne ne trouve rien à redire à ce paradoxe, les personnalités ou groupes d’extrême gauche qui soutiennent des régimes parmi les plus autoritaires et liberticides de la planète (qu’il s’agisse, selon les tendances, de Cuba, du Venezuela, du Népal… et qui préconisent les méthodes les plus musclées pour régler les problèmes sociaux (armée, emprisonnement, etc.…) sont également celles et ceux qui n’ont que la «démocratie» et la «liberté d’expression» à la bouche.

Mais de quelle liberté d’expression parle-t-on ? Celle des patriotes français ? Celle des artisans ou patrons de PME ? Celle des femmes au foyer ? Celle des "petits blancs" victimes du racisme ? Celle de toutes celles et tous ceux qui n’ont accès à aucun grand média, aucun relais dans le pouvoir législatif pour exprimer leurs revendications ? Evidemment pas : la seule liberté de parole qui leur importe, c’est la leur. Quand ils fustigent le «politiquement correct», la «bienpensance», «les chiens de garde du Système», c’est en réalité l’ostracisme qui frappe le discours hérité des dictatures de la guerre froide qu’ils dénoncent : ce n’est pas par hasard si ce sont la haine des uniformes, les dictatures révolutionnaires ou l’insurrection armée qui sont pour eux les premières causes à défendre.

L’autre avantage qu’il y a à faire appel à la liberté d’expression, c’est d’adopter une position victimaire censée culpabiliser les partisans de la démocratie et les défenseurs des droits (droits dont par ailleurs ils se moquent éperdument pour les autres, comme les gens de droite). Il faut dire que le pouvoir, à travers des lois comme l’état d’urgence, leur facilite grandement la tâche, faisant du premier manifestant non autorisé une "victime du Système". Cependant, ce statut de victime est généralement sans risque, puisque l’écrasante majorité des propos d’appel à la violence contre l’état circulent dans les manifestations en totale impunité. Pire, alors que ce type de discours, à travers la pratique du trollage, submerge littéralement la moindre discussion ouverte du web, sa contestation est aussitôt assimilée à une forme de censure.

Une "Résistance" en carton

Il y a encore quelques années, le mot "maquisard"était plutôt associé à la lutte des gaullistes contre les collabos du nazisme. La "dissidence" renvoyait à l’opposition au sein d’un régime autoritaire, en particulier l’union soviétique stalinienne. Désormais, l’extrême gauche réussit à les reprendre à son compte : le dissident est celui qui réhabilite le stalinisme déguisé si cher aux PCF (voir le film Good Bye Lenin), le maquisard soutient le régime de Chavez qui n’a pas grand-chose à envier à celui de Castro, et c’est Charlie Hebdo qui appelle à la "sécurité par la police". 

C’est que l’extrême gauche a retenu la leçon de la bataille du sentiment patriotique perdu au profit du FN et de la droite conservatrice : les mots sont importants, au moins autant que les actes. Depuis la fin des années Mitterrand cependant, elle ne disposait plus vraiment d’espace pour renouveler son discours : ringardisée dans la société, l’extrême gauche semblait condamnée à rester dans les poubelles de l’Histoire.

Mais en réinvestissant massivement les médias, avec le retour de la gauche au pouvoir et ses subventions massives aux amis, elle a bien compris qu’en re-balisant avec ses propres codes et ses propres vocables cet espace politique, elle parviendrait à faire entendre de nouveau sa voix, tout en conservant une position d’alternative au système, alors que dans le même temps son discours était repris dans les médias établis par des personnalités néo-gauchistes comme Laurent Ruquier ou Yann Barthes. 

Avec Soral et Dieudonné, tous les deux issus de la gauche, cette posture du "dissident" est même devenue un business très lucratif, ainsi qu’une forme de reconnaissance sociale pour tout un tas de "spécialistes" autoproclamés qui, pour pallier la faiblesse de leurs thèses ou de leurs recherches, se drapent dans les habits de l’anticonformisme. Les théories du complot des élites les plus délirantes, les propos les plus outrageusement anti-américains ou anti-occidentaux sont ainsi validés par la seule affirmation qu’ils iraient à l’encontre de la "pensée dominante" qui les rejette.

Il faut reconnaître que la dénonciation du gauchisme par une nouvelle génération de personnalités de droite (Zemmour, Filkenkraut,…) et celle du mensonge anti-sioniste (cache sexe de l’antisémitisme) ont largement contribué à la création de cette figure du "rebelle". C’est une des raisons pour lesquelles un anti-gauchisme cohérent ne doit pas seulement s’appuyer sur la culpabilisation ou la diabolisation de l’extrême gauche, mais sur la lutte pied à pied contre son discours, ses apparitions et ses méthodes.

Un anti-facisme bien pratique

En dépit de toutes ces tentatives qui visent à noyer le poisson et à nous faire prendre des vessies pour des lanternes, l’extrême gauche continue à trouver sur son chemin des esprits obtus qui s’entêtent à appeler un chat, un chat, et un facho-rouge, un facho-rouge.

Rendre compte des agissements et des groupuscules d’extrême gauche par un travail de terrain minutieux permet de contourner la contre-information qu’elle fait sur ses propres activités. On l’a vu, elle avance le plus souvent masquée, et ne se dévoile qu’une fois le terrain occupé : il importe donc d’alerter sur sa présence le plus tôt possible, et de l’empêcher de se croire partout chez elle. Bien sûr, la plupart des groupes gauchistes prétendent que ce travail d’information est téléguidé par le pouvoir (police, services secrets, lobbies) car ils ne peuvent imaginer que des nouveaux médias de droite sur Internet puissent les berner ainsi ; il est aussi plus valorisant pour eux de croire qu’ils sont les cibles du système…

Si cette thèse conspirationniste ne suffit pas à dénigrer les anticommunistes, l’extrême gauche insistera alors sur leur violence, en n’hésitant pas à les traiter de «nouvelle stazi» ou de «néo-KGB», dans une inversion des rôles assez cocasse si elle ne trouvait un écho dans les médias et une partie de l’opinion. Comme pour la "liberté d’expression", la violence dont il est question est très sélective : pour prendre des exemples récents, une action aussi pacifique que celle de militants "pro-vie" contre une clinique d’avortement sont considérées comme «d’une violence inouïe», mais les très nombreuses violences syndicales d’extrême-gauche, les attaques à coups de barre de fer des antifas sont passées sous silence…

En dépit de l’incapacité des individus et des groupes d’extrême gauche à déclencher leur lutte des classes, les stratégies qu’ils mettent en place dans les médias, telles que nous les avons décrites ici, leur permettent de banaliser leurs discours, surtout auprès de la jeunesse captive. Pas étonnant de les voir dans toutes les manifestations de jeunes. Cette récupération ne peut que profiter à l’extrême gauche, et c’est pourquoi il faut que se renforce au sein des médias Internet une forme saine d’intolérance à l’égard des courants gauchistes qui, s’ils ne disent pas toujours leur nom, garderont tout l’espace qu’on leur laissera, afin d’y imposer leurs idéaux. Il sera alors un peu tard pour se demander ce qui s’est passé : c’est pourquoi nous ne pouvons nous payer le luxe d’abaisser la garde face à ceux qui, eux aussi, portent un projet de société, mais aux antipodes de nos valeurs patriotiques, françaises et pour la défense de l’état de droit.

Anti-LaHorde 

Guerre entre Parti Socialiste et extrême gauche, une vielle histoire

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En réalité, la guéguerre à laquelle on assiste actuellement entre le PS et l’extrême gauche, n’est pas une première. On peut même dire que c’est de la gnognote comparé aux événements de 1940. A l’époque, l’ancêtre du PS (le SFIO) n’y était pas allé par le dos de la cuillère avec les rouges : 10 550 perquisitions, 3 400 arrestations, 489 internés administratifs et 100 condamnations par les tribunaux militaires dont 14 condamnations à mort. 

C’était l’époque, peu racontée dans nos manuels d’histoire (noyautage de l’éducation par les rouges oblige) où les communistes et autres anarcho-pacifistes avaient opté pour l’alliance avec les nazis (pacte germano-soviétique). Au menu : sabotage des usines d’armement et collaboration avec les agents allemands :
Fin du mois de juin 1939 a lieu une réunion à Moscou où des agents français sont invités à établir des "relations cordiales" avec les agents allemands et «se mettre à la disposition des chefs d’espionnage allemands pour saboter les navires marchands des démocraties capitalistes», cf : Histoire du Sabotage de Sébastien Albertelli.
Les historiens ont beau nous pipeauter que la CGT avait condamné le pacte germano-soviétique et exclu ses membres communistes, on a du mal à gober ! Non seulement elle était totalement noyautée de radicaux communistes (anciens de la CGTU, lors d’une récente fusion) mais était surtout dirigée par un leader, Léon Jouhaux, pro-Staline (un des rares leaders non communistes a être invité en 1937 à Moscou). On imagine facilement une base encore largement acquise au Komintern malgré la répression.

Faut dire qu’en terme de sabotage, la CGT avait montré ses compétences pendant les grèves de cheminots en 1920 : objets déposés sur les voies, détérioration de la signalisation, coupures de fils, dévissage de rails. Le 5 mai, les éclisses d’un rail de 18 mètres et les tire-fonds de 11 traverses sont enlevés prés de Bobigny provoquant le déraillement d’un train de marchandises. Quinze jours plus tard, une locomotive est précipitée dans la fosse d’un pont tournant à Nevers. Dans au moins 6 cas, des explosifs sont même utilisés. À la suite de ce mouvement, la gauche centriste au pouvoir (encore le vieux différent gauche/extrême-gauche) ordonnera, le 13 janvier 1921, la dissolution de la CGT, sanction qui ne sera jamais appliquée. 

Trahison, intelligence avec l’ennemi, terrorisme, collaboration pro-nazie… et dire que certains ne trouvent rien d’anormal à laisser le PCF et son satellite de la CGT exister en France et continuer leur basse besogne. Et ne venez pas me sortir le couplet des acquis sociaux obtenus grâce à ces derniers ! Les autres pays occidentaux ont bien obtenu les leurs avec des syndicats réformistes et co-gestionnaires.

Le Droitiste

Palestine business

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Je vous annonce que je vais participer au concours du dessin sioniste sur l'invention de la Palestine et le raket aux subventions pour aider des réfugiés artificiels d'un pays créé de toute pièce par la propagande islamiste. Voici mon dessin ! Toute ressemblance avec le dessin d'une salope antisémite serait purement fortuite !

Le Droitiste

Raciste, antisémite, misogyne, tiers-mondiste,… je vomis Mohamed Ali

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De toute façon je m’y attendais, sa mort allait être l’occasion d’une grande messe à la Mandela, c’était inscrit sur l’agenda de la propagande médiatique. Manque juste les funérailles en directe à la TV avec les larmes de Bill Clinton ou Erdogan (qui sait, peut-être même celles de notre Taubira anti-nationale, si elle y va) pour falsifier encore plus nos livres d’histoire.

C’est bizarre, à chaque fois qu’une personnalité de couleur a encouragé le racisme anti-blancs, pratiqué la dialectique marxiste, fait l’apologie de la violence contre l’Occident,… on lui pardonne tout, une fois morte. Quand une personnalité blanche a tenu, à un moment de sa vie, des propos ambigus contre les gens de couleurs ou soutenu des régimes de droites, les médias parlent systématiquement de «personnalité controversée », une fois décédée.

Faut pas trop se foutre de notre gueule, il a fait quoi de GRAND le Mohamed Ali ? C’est tout juste s’il nous est dépeint comme l’égal d’un Martin Luther King ou d’un Abbé Pierre ! ! ! Ce mec a été un raciste pathologique dans tous les domaines, de la politique à la religion. Inutile de vous retracer son parcours, lisez l’article de Guy Millière, un des seules à oser critiquer l'icône (et encore, en retenue) >> La vérité sur Cassius Clay, devenu Mohammed Ali

S’il fallait en choisir une, j’opterais personnellement pour cette citation du "grand" homme de bien qu’il fut  : 
« All Jews and gentiles are devils… Blacks are no devils… Everything black people doing wrong comes from (the white people): Drinking, smoking, prostitution, homosexuality, stealing, gambling : It all comes from (the white people) ». 
« Tous les juifs et païens sont des démons... Les noirs ne sont pas des démons... Tout ce que les noirs font de mal vient d'eux (les blancs) : boire, fumer, la prostitution, l'homosexualité, le vol, les jeux d'argent : tout provient d'eux (les blancs) ».

Côté sportif, il était l’incarnation de tout ce qui est à vomir en matière d’exemplarité : trash-talking, provocation, arrogance, politisation,… bref l’ancêtre des Prince Naseem Hamed et autres Cantona de service. 

Son palmarès n’a rien d’exceptionnel en terme de ratio, comparé à tant d’autres champions (Rocky Marciano, Joe Louis, Mike Tyson, Wladimir Klitschko*,…). Même sa maladie est une sanction d'une carrière mal gérée et trop longue pour cause de mégalomanie médiatique. 

La seule chose à lui reconnaître, c’est sa faculté à avoir su se faire absoudre de ses erreurs en se réfugiant dans la religion. En même temps, il n’a pas choisi celle qui demande le plus d’effort pour se faire pardonner sa haine anti-blanche.

Vous aurez noté l'ironie de sa conversion : embrasser la religion qui a le plus pratiqué la traite des noirs (et continue toujours dans une moindre mesure) sans jamais avoir fait de repentir.


* Par exemple : Wladimir Klitschko = 68 combats, 4 défaites (Ali = 61 combats et 5 défaites) , 1 titre olympique et autant de titres professionnels que Mohamed Ali. Mais qui connaît Klitschko ? Trop blanc, donc trop plouc pour nos médias !


Le Droitiste

Faut virer Lesquen de la présidence de Radio Courtoisie !

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Vous êtes sans doute comme moi, à vous demander s’il est possible de continuer à écouter une radio dont le président sombre dans la mégalomanie et la provocation malsaine ! 

Quelle misère de voir la radio de "toutes les droites" prise en otage, et la mémoire de son fondateur (Jean Ferré) bafouée comme cela ! Je plains les autres patrons d’émission devant envoyer des invitations pour une radio au pedigree sulfureux à cause d’un tel président !

A la fois, ceux qui suivent le personnage, sentaient venir le coup depuis longtemps. Il suffisait d’écouter ses émissions du lundi pour se rendre compte de sa névrose grandissante ! On a évidement une pensée pour son assistante bénévole, traitée régulièrement comme une merde (on se demande bien pourquoi la pauvre continue avec toutes les brimades dont elle a été victime en directe). On a aussi une pensée pour tous ses invités dont il coupe perpétuellement la parole pour imposer son point de vue et jouer les érudits sur tous les sujets !

Les plus anciens se souviendront aussi de son appel à voter Chirac au second tour des présidentielles en 2002, le même qui fait l’éloge de JM Le Pen aujourd’hui (pourtant le même), au point de l’imiter dans la provocation graveleuse et la course à la petite phrase pour faire le buzz.

J’encourage tous les auditeurs, les donateurs, les participants au dîner annuel et la "Fête de la Courtoisie", à entamer une campagne et faire pression pour demander sa démission de la présidence. Il en va de l’avenir de la seule radio de droite en France ! Avec Henry de Lesquen à sa tête, c’est l’ostracisme garanti et la dérive extrémiste assurée. 

D’ailleurs qu’a-t-il fait, en presque 10 ans de présidence, pour développer ce média ? Rien ! A l’image de Valeurs Actuelles et TV Libertés, il est temps d’avoir une vraie grande radio de droite en France moderne et plurielle !

Le Droitiste


Une victoire du Portugal en finale de l’Euro m’irait aussi très bien

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Celle de la France a forcement ma faveur. Au-delà du côté chauvin, ce serait une victoire contre cette forme de racisme "anti-blancs" qui s’est imposé perfidement dans le football hexagonal ; Celui donnant la priorité aux joueurs issus de la "diversité" pour les postes plus prestigieux d’attaque. Aux joueurs "de souche" ceux de gardien ou d’entraîneur !
A tel point que ces derniers ont fini par déserter, au fil du temps, les écoles de football et les clubs de quartiers. Même dans les cours de récréation et les squares, le "petit blanc de souche" a fini par disparaître dans les parties de foot improvisées, à force d’être figurant en attaque. Une victoire en finale de l’Euro, avec des têtes d’affiche comme Griezman et Giroud, pourrait inverser la tendance.

Mais si le Portugal gagne, je ne cacherai pas mon allégresse, aussi. 

Tiens, … rien que pour leur écusson sur le maillot national. Une croix templière, ou croix des chevaliers du Temple de Jérusalem (anciennement "Chevaliers du Temple de Salomon") synonyme de croisade contre le sarrasin. On la retrouve d’ailleurs sur le maillot de l’équipe de football du Brésil, son ancienne colonie. Au centre de cette croix figurent 5 écussons bleus, ceux de la victoire sur 5 rois musulmans lors de la bataille d’Ourique, le 26 juillet 1139. Oui, ce Portugal fleure bon la reconquista !

Un Portugal, terre de piété chrétienne plus que toutes autres en Europe, avec ses deux sanctuaires : celui de Notre-Dame de Fátima et celui de Saint-Jacques-de-Compostelle (si on considère que la Galice espagnole et le Portugal forment un même pays divisé par l’histoire – Les langues galicienne et portugaise sont deux langues jumelles).

Football 

Côté religion, le football arrive en deuxième position chez nos amis lusitaniens. Une victoire en finale de l’Euro serait une justice pour ce pays 6 fois plus petit que la France, mais souvent classé devant à l’indice UEFA. Récompense aussi pour un pays aux 4 victoires en Ligue des Champions (ou Coupe des Champions) contre une seule pour la France avec l’OM. Sans oublier cette institution du foot mondial qu’est le Benfica Lisbonne : il détient le record mondial du nombre de sócios (abonnés) avec 270 000 membres devant des clubs comme le Bayern Munich ou le FC Barcelone ! Respect ! 

Je n’aime pas le personnage, mais je suis bien obligé de m’incliner devant Christiano Ronaldo, un monstre dans son sport : plus jeune Ballon d’Or (plus grand nombre de podium derrière Messi) et plus grand nombre de buts en Ligue des Champions. Qu’on le veuille ou non, il est, et restera probablement, dans le top 10 des meilleurs joueurs de l’histoire du football. 

Histoire

Et comment ne pas saluer la contribution du Portugal dans la lutte contre la vermine communiste ? Six à sept milles soldats portugais tombés en Angola et au Mozambique pour freiner l’impérialisme soviétique et ses sous-fifres. Avec la France et l’Afrique du Sud, il est le 3ième pays occidental à avoir fait rempart de son corps pour freiner les rouges sur le continent africain.

Niveau anticommunisme, le Portugal fait presque figure de paradis. Jamais ce pays ne s’est laissé bouffer par l’utopie marxiste ou anarchiste pendant l’entre-deux-guerres, à l’inverse des autres pays de l’Europe du sud (Espagne, Italie, Grèce). Point de guerre civile, comme son voisin espagnol, malgré les manipulations KGBistes. Ah, le bon sens de ce petit peuple !

Tourisme

Bon, j’avoue ! J’ai eu l’occasion de découvrir ce pays récemment et ça a été le coup de cœur ! Mes clichés en ont pris un coup, moi qui croyais tomber sur un pays toujours aux portes du tiers-monde avec des campagnes arides peuplées de "crevards" attendant le retour des émigrés français pendant les grandes vacances.

En réalité, un pays vert au climat doux et tempéré, peuplé de gens affables et bienveillants, au milieu d’un décor et d’un style de vie comparable à celui de la France, le stress et le sentiment d’insécurité en moins. Un truc à envisager sa retraite pépère là-bas.

Si un exil dans un pays anglo-saxon ou en terre biblique (pour affronter le djihad en terre du dar al-harb, la tête haute) ne pouvait se faire, j’opterais volontiers pour le Portugal. 

Le Droitiste

Alain Marschall, parangon du journalisme de propagande

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Impossible de ne pas interrompe ma trêve estivale et apporter ma contribution à la mise sur orbite du journaliste Alain Marschall, écho à la célèbre réplique d’Audiard « Quand on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini de tourner !». 

Avec l’emballement médiatique, l’affaire pourrait tomber aux oubliettes et permettre à l’intéressé d’éviter son voyage dans l’espace. D’où mon billet pour garder une trace au profit d’éventuels chercheurs sur le web. J’ai transcris par écrit ses propos infamants, dés fois qu’il interdise les vidéos de son exploit (Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît !). Et puis censeur et manipulateur font souvent bon ménage.

«J'ai plutôt l'impression qu'on a à faire à un déséquilibré, ça c'est une certitude, façon Germanwings ou façon tuerie d'Orlando : un type qui était ultra mal dans sa peau ou qui n'arrivait pas à se trouver. Et qui d'un coup se dit : si je suis malheureux, il n'y a pas de raisons que la terre entière ne soit pas malheureuse avec moi, et tous ces gens qui sont heureux sur la Promenade de Anglais, j'ai pas envie qu'ils le soient ! Je ne vois pas Daesh là-dedans, je ne vois pas l'état islamique, très franchement ! »
(Alain Marschall, 15/07/2016).

Parcequ’il a fait très fort le bobo journaliste, coqueluche de NextRadioTV (RMC et BFM TV). Il a bien mérité le fameux "Pourri d’Or" d’Albert Dupontel, dans la catégorie "Journalisme collabo". Si nous étions en 1944 à Oradour-sur-Glane, il nous aurait sans doute gratifié du couplet sur des jeunes soldats endoctrinés «déséquilibrés», «mal dans leur peau»,... «je ne vois pas des consignes de l’armée Allemagne là-dedans !».

Au-delà du cas Marschall, c’est toute la classe journaliste française, adepte de la désinformation et du dénie, qui est pointée du doigt. Celle de la génération bobo, élevée au biberon de l’antiracisme et de la chasse obsessionnelle à l’extrême droite, quitte à servir la soupe aux partisans de la charia.

Ne vous faites pas d’illusion, en réalité ils s’en tapent de leur propre propagande du "vivre ensemble", comprenez "avec nos futurs bourreaux" (pas de risque pour eux : Alain Marschall était sur un bateau au large avec ses amis pendant le feu d’artifice de Nice, et non au milieu du peuple en danger), c’est de voir l’extrême droite tirer les marrons du feu qui les rend totalement fou ! 

Et encore, on peut s’estimer heureux :  le pourri nous a épargné la suite du vomi idéologique sortie des écoles de journalisme français, à base de « Tout cela fait le jeu du FN !» ou « Daesh / Extrême-droite = même combat ! ».  Sans oublier le fameux «Parler du terrorisme, aide Donald Trump ! ».

Le Droitiste

Julien Rochedy, symbole du faquin dans sa mouise

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Autre bref interlude estival, dans la veine de la précédente, pour dénoncer les collabos en temps de guerre ! Je veux parler de tous ces faquins retournant leur veste en lousdé avec les attentats islamiques, sans que cela se voit,… pour quand même s’infirmer ensuite, par peur d’avoir été démasqués dans leur incohérence.

La vidéo du sieur Rochedy est un régal à cet égard, une perle. En guise de comparaison d’actualité, on dirait la montée de l'Alpe d'Huez en cyclisme, tellement il y a de virages. Un truc à se faire des nœuds au cerveau. Limite, tu as envie de te précipiter vers une vidéo d’Ulcan pour te remettre les idées en place avec des insultes basiques et des attaques simplistes. 


C’est toute cette mouvance nationaliste fascinée, il y a encore peu, par la virilité musulmane des cités françaises et des rues de Damas à Gaza, qui prend chère. Tous ces collabos patriotes, en mal de mystique guerrière exotique et de théories complexes (donc dignes de leur intelligence) obligés de revoir presque intégralement leur copie ! Toute cette frange de pleutres plus enclin à jouer les gros durs en brocardant, via des théories complotistes antisémites fumeuses, une communauté française d’à peine 500 000 individus paisibles (6 millions à l’échelle du globe, soit 0.23% de la population mondiale) que celle de 6 à 8  millions, rien qu’en France (15 millions selon Azouz Begag) d’adeptes d’une charia ouvertement meurtrière en anti-française. Sans oublier leur amour cachée pour intellectualisme et l’esthétisme de gauche, confinant au confusionnisme et la traîtrise. 

Après avoir léché le cul des escrocs de l’auto-proclamée dissidence (Soral, Dieudonné and co), puis celui du jean-marinisme, via un détour vers le marinisme et le mariontisme, ils se retrouvent orphelins au milieu de leur mouise. Jouissif !

Le Droitiste 


Les collabos des ennemis de la France sont toujours de Gauche !

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Petite piqûre de rappel, mais  tellement d'actualité, en cette époque de guerre où l'Occident doit faire face de nouveau à une forme de nazisme, maquillé en religion pour bénéficier abusivement du parapluie de nos propres lois anti-discriminations et anti-racistes.

Eh oui, la collaboration actuelle des élites médiatiques de gauche et des groupuscules gauchistes (sans oublier les collabos socialistes-nationaux comme Dieudo, Soral, Jérôme Bourbon,...) avec l'islamisme n'a rien d'inédit, elle est même un remake.

Je vous laisse lire la suite, surtout la liste de fin où on retrouve le gotha du communisme, du socialisme et même du sérail maçonnique (soi-disant humaniste) !

Le droitiste

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Copie de l'article de Jean-Patrick Grumberg pour le site www.Dreuz.info

Eh oui, ça fait mal, la vérité dérange explique le Rabbin Haïm Harboun au début d’un article au ton visiblement irrité par la façon dont la gauche morale réécrit sa propre histoire.
« Il est temps que l’on lève le voile posé par les historiens des années 70 et 80 qui se sont largement employés à revisiter l’histoire pour sauver leurs meubles ! » ajoute-t-il naïvement, car nous savons nous qu’aucun voile ne sera levé ni par les historiens, ni par l’éducation nationale, ni par les journalistes, ni encore moins, et cela laisse perplexe, par la droite, qui se laisse diaboliser par les socialistes sans réagir.
Le Rabbin Harboun cite ici Simon Epstein, l’économiste et historien, auteur entre autres de “Un paradoxe français*”. Extraits choisis.
Mensonge de gauche n°1 : les collaborationnistes pendant la seconde guerre mondiale étaient majoritairement à l’extrême droite. C’est tout l’inverse. La majorité des premiers résistants était issue de l’Action Française qui prônait le “nationalisme intégral” et était germanophobe.
Mensonge de gauche n°2 : la gauche pacifiste, antiraciste et philosémite a majoritairement composé la Résistance. C’est tout l’inverse. Les pacifistes ont continué d’être pacifistes sous la botte des nazis (comme les dreyfusards).
Plus précisément, le pacifisme fut le vecteur principal de la collaboration, et les pacifistes furent donc très nombreux à collaborer.
Georges Suarez, qui fut l’ami de Joseph Kessel dans les années 20 et le biographe de Clémenceau et de Briand est un bel exemple de cette logique de gauche qui mène du pacifisme au nazisme. Par souci de réconciliation franco-allemande, il devint, sous Vichy, un pronaziste effréné, et fut le premier journaliste à être jugé pour collaboration : il était proche de la gauche briandiste.
Que la gauche fut dominante dans la collaboration parce qu’elle fut dominante dans le pacifisme est une vérité très dérangeante, et les historiens soucieux d’inculper “toutes les droites”, soucieux de leur faire porter la responsabilité des erreurs, des trahisons et des crimes des années 1940-1944 ont tous un trou de mémoire sur ces quatre années noires.
Nos historiens – de gauche – chargeront Maurras (Action Française) de forfaits commis par des gens, qui, pour beaucoup, étaient des antimaurrassiens endurcis. Ils s’acharneront sur La Roque (les Croix de Feu), qui vraiment n’y était pour rien, tandis qu’ils ignoreront ces pacifistes, intransigeants et candides à la fois, qui se fascinèrent pour l’Allemagne de Hitler.
Et cela dure jusqu’à maintenant…
Simon Epstein, dans son livre, cite entre autres Bernard Lacache, le président de la LICA (ancêtre de l’actuelle LICRA) qui dénonça ces traîtres qui, ayant milité au sein de ce mouvement pacifiste de gauche, se convertirent à la collaboration. Et bien entendu, il n’oublie pas, dans une notice biographique précise, François Mitterrand…
Mais Mitterrand ne fût pas le seul collabo de gauche qui fit la navette :
– Drieu-La Rochelle était-il d’extrême droite avant guerre ? Non. Il était de gauche et philosémite.
– Jean Luchaire, Pierre de Brinon, Alphonse de Chateaubriand : des hommes de gauche.
– Doriot, Déat ? de gauche.
– Cocteau, Aymé, Giono ? de gauche.
– Bergery ? radical de gauche.
– Bertrand de Jouvenel ? de gauche.
– Simon Sabiani, Maurice-Ivan Sicard, Paul Perrin, André Grisoni, Paul Rives, Maurice Levillain, Barthélémy Montagnon, René Chateau, Claude Jamet : tous de gauche, tous collabos.
– Robert Jospin (le père de Lionel) pacifiste intégral, munichois, proche de Marcel Déat : SFIO.
– Camille Chautemps, Georges Bonnet, Maurice Papon, René Bousquet : la gauche radicale.
– Robert Hersant : gauche radicale.
– Charles Spinasse, Georges Monnet : eux aussi de gauche.
– Alfred Baudrillart, Marc Augier, Jean Balestre : tous à gauche.
– Camille Planche, Léon Emery, René Gérin, étaient déatistes et venaient de la gauche.
– Saint-Loup (alias Marc Augier qui, avant guerre, chantait “Au devant de la vie” avec ses camarades juifs des Auberges), Saint-Paulien (alias Maurice-Ivan Sicard, qui avant guerre vomissait dans son “Huron” le fascisme et les fascistes), Roland Gaucher (ex- Roland Goguillot qui militait aux Etudiants révolutionnaires), François Brigneau (Emmanuel Allot, pacifiste de gauche) : des ex-antifascistes, des anciens de la gauche et de l’extrême gauche, et qui devinrent des ordures de la collaboration, puis militants d’extrême droite après la guerre.
– René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy, responsable de la déportation de 54.000 juifs français, l’ami de toujours de François Mitterrand : centre gauche républicain.
– 12 des 17 ministres SFIO de la fin de la III° République furent exclus du parti après guerre pour avoir collaborer avec les allemands.
Qui sera étonné de rencontrer encore la gauche, aujourd’hui, dans le lit de l’islam ?
Mais ce court inventaire de la gauche de la honte demande bien entendu à être complété par le parcours de Georges Gustave Hollande, le père de notre président de la République, dont la fiche sur Wikipedia a été totalement réécrite, et je vous laisse imaginer dans quelle direction ;-)
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Petite liste non exhaustive
des principaux collabos

ALBERTINI (Georges) : Secrétaire des Jeunesses Socialistes; membre de la SFIO et de la CGT. Membre de Institut Supérieur ouvrier, du Comité de Vigilance des Intellectuels antifascistes. Secrétaire général du RNP, parti collaborationniste de Déat. 

AMBROGELLY (Adolphe) : Membre des Jeunesses Communistes, de la CGTU. Premier adjoint au maire d’Arcueil. Membre du Comité Central du Parti Ouvrier et Paysan Français, POPF. Exécuté en septembre 1944.

AUCLAIR (Emile) : Membre du Comité Central du Parti Communiste, puis maire socialiste de Brétigny. En 1940, prend position pour la Collaboration et les accords de Montoire; Arrêté par les FFI en 1944 et libéré par les Américains.

BARBÉ (Henri) : Membre du bureau politique du Parti Communiste en 1927. Puis secrétaire général du PPF de 1936 jusqu’en 1939. Dirigeant du RNP. Secrétaire général du Front Révolutionnaire National, FRN. Condamné aux travaux forcés, libéré en 1949. Se convertit au catholicisme.

BARTHÉLÉMY (Georges) : Député SFIO de Puteaux. Pendant le Front Populaire, réformateur de l’administration des sports. Son objectif est d’ « enrayer la dégénérescence physique et morale de la race ». Membre du Conseil National de Vichy jusqu’en 1941. Assassiné en juillet 1944.

BARTHÉLÉMY (Victor) : Dirigeant du Secours Rouge International (région méditerranéenne). Secrétaire général du PPF de 1941 à 1944. Membre du bureau politique du Front national de 1973 à 1978. 


BELIN (René) : Secrétaire général adjoint de la CGT (N°2 du syndicat, après Léon Jouhaux). Ministre du Travail du maréchal Pétain. Un des signataires de la loi sur le statut des Juifs du 3 octobre 1940.Après la guerre, il fonde le « Front syndicaliste » puis « La Revue syndicaliste », proche de FO. Il est élu maire d’une commune de Seine-et-Marne de 1958 à 1965. 

BERGERY (Gaston) : Député radical. Chef de cabinet d’Edouard Herriot en 1924-25. En 1933, fonde la Front commun contre le fascisme.  Vice-président du groupe radical-socialiste à la Chambre. Membre du Conseil National, puis ambassadeur du gouvernement de Vichy à Moscou, puis à Ankara.

BERNIER (Jean) : Membre du Parti Communiste et de l’Association Républicaine des  Anciens Combattants. Collabore au journal Le Libertaire. Proche des surréalistes. Fondateur, au sein de la CGT, du cercle syndicaliste Lutte des classes. Se rallie au maréchal Pétain. Est nommé en 1942 secrétaire de l’Organisation des Prisonniers de Guerre de la zone occupée. Collabore à des revues nationalistes françaises.

BIDEGARAY (Marcel) : Cheminot révolutionnaire, licencié lors de la grève de 1920. Secrétaire Général de la Fédération Nationale des Travailleurs des Chemins de Fer (CGT). Membre de la SFIO. Trésorier du COSI (Comité Ouvrier de Secours Immédiat), ouvertement collaborationniste. Mort mystérieuse au camp d’internement de Bidache (64).

BILLOUX (François) : Secrétaire général des Jeunesses Communistes de 1928 à 1930. Entre au Comité central du PC en 1926. Député communiste de Marseille. Au moment du pacte germano-soviét que, il écrit au Maréchal Pétain pour se porter comme témoin à charge contre Blum et Daladier au procès de Riom. Quatre fois ministre entre 1945 et 1947. Vice président du groupe communiste à l’assemblée nationale. Membre du bureau politique du PC.BLUM (Léon). 

BONNAFOUS  (Max) : Militant au Parti Socialiste-SFIO, puis à l’Union Socialiste Républicaine.1942 : Secrétaire d’Etat à l’Agriculture et au Ravitaillement (gouvernement Laval).

BONTE (Florimond) : Membre du Comité Central du parti communiste. Député de Paris. Président du groupe des députés « ouvrier et paysan français ». Rédacteur en chef de l’Humanité. Directeur de France Nouvelle. Il écrit à Edouard Herriot, Président de la Chambre des députés, pour le presser de signer l’armistice avec l’Allemagne. 

BOURNETON (Charles) : Cheminot. Permanent du parti Communiste et de la CGTU. Organisateur en zone sud du Parti Ouvrier et Paysan Français. Exécuté sommairement en septembre 1944.

BOUSQUET (René) : Haut fonctionnaire. Réorganise le Fichier central de la police française à partir de 1937, sous les ordres de Marx Dormoy. Haut fonctionnaire parrainé par le sénateur radical-socialiste Maurice Sarraut, patron de presse (La Dépêche de Toulouse), et par son frère Albert Sarraut, député, président du Conseil et ministre sous la IIIe République. Secrétaire général de la Police française de 1941 à 1943. Organisateur de rafles en collaboration avec les nazis. Administrateur de La Dépêche du Midi Toulouse (tendance radicale).

BROUT (Marcel) : Député communiste de Paris. Démissionnaire lors de la signature du pacte germano-soviétique. Membre du Bloc Ouvrier et paysan. Fondateur en 1944 du Rassemblement pour la Révolution Nationale. Condamné en 1948 à 5 ans de dégradation nationale.

CAPRON (Marcel) : Député communiste et maire d’Alfortville.Un des fondateurs du Parti Ouvrier et Paysan Français, collaborationniste de gauche.E mprisonné pendant 2 ans, puis condamné en 1948 à la dégradation nationale à vie avec confiscation de ses biens.

CELOR (Pierre) : Membre du bureau politique du Parti Communiste et délégué auprès du Komintern.  Adhère en 1941 au RNP, puis devient membre du bureau politique du PPF. Devient catholique traditionnaliste.

CHALLAYE (Félicien) : Ancien de l’Ecole Normale Supérieure. Compagnon de Brazza au Congo. Membre éminent de la Ligue des Droits de l’Homme. Ennemi de la colonisation, contre la majorité de la Ligue. Collabore à Aujourd’hui, Germinal, l’Atelier. Dénoncé publiquement comme « Collaborateur » par le Conseil National des Ecrivains (CNE) en 1944-1945. 

CHASSEIGNE (François) : Dirigeant des Jeunesses Communistes, membre du Comité Central du parti Communiste, puis député socialiste d’Issoudun (Indre). Franc-maçon à la loge de Chateauroux « La Gauloise ». Secrétaire général du Comité de Rassemblement pour la Révolution Nationale en 1941. Secrétaire général de l’information du gouvernement de Vichy en 1941. Directeur de la propagande ouvrière en 1943. Commissaire général du Travail, puis secrétaire d’Etat au Ravitaillement en 1944. 

CHATEAU (René) : Député de la gauche indépendante. Membre de la Ligue des Droits de l’Homme. Membre du Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes. Membre du Grand Orient de France à partir de 1935. Créateur de la LPF (Ligue de la Pensée Française). Membre fondateur du RNP, Directeur politique du journal La France Socialiste. 

CHEVENARD (née  VIOLET, Jeanne) : Déléguée à la propagande de la CGT. Secrétaire adjointe de la CGT. Féministe. Adepte de la collaboration franco-allemande. Membre du bureau du journal Au Travail ! Exécutée sommairement le 29 juin 1944

CLÉMENT (Albert) : Membre du parti Communiste. Rédacteur en chef de La Vie Ouvrière de 1929 à 1939. Membre du PPF. Rédacteur en chef du journal Le Cri du peuple. 

COMPÈRE-MOREL (Adéodat Constant COMPÈRE, dit) : Député socialiste du Gard. Compagnon de Jules Guesde et Jean Jaurès. Ecrivain et théoricien du socialisme français. Rallié dès 1940 au régime de Vichy. Avocat de la collaboration franco-allemande. 

COQUELIN (Marcel) : Membre de la CGTU. Secrétaire adjoint du Syndicat de la confection. Nommé par Vichy conseiller municipal de Paris en 1941.

CREYSSEL (Paul) : Député radical-socialiste. Directeur, puis secrétaire général du service de propagande de Vichy de 1942 à 1944.

DÉAT (Marcel) : Ancien combattant héroïque de 14-18; Secrétaire du groupe parlementaire SFIO, député socialiste. Chef de file des néo-socialistes. Déat crée le RNP (rassemblement National Populaire), mouvement collaborationniste de gauche. Il devient ministre du Travail du maréchal Pétain en 1944. Réfugié en Italie après la guerre.

DELAISI (Francis) : Militant pacifiste. Membre de la Ligue des Droits de l’Homme et du Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes. Collabore à La Vie Ouvrière et La Guerre Sociale. Economiste de gauche. Cadre du RNP. Collabore àL ’Oeuvre, à L’Atelier, à Germinal(journaux collaborationnistes). 

DESNOTS (Jean) : Ancien membre du comité central du Parti Communiste. Passe au trotskisme en 1935. Membre du RNP. Rédacteur au journal L’atelier.

DESPHELIPPON (Francis) : Membre du PC, puis du PS-SFIO. Responsable des Amicales socialistes. Membre du RNP. Membre du comité directeur du Front Révolutionaire National.

DIRR (Raymond) : Adjoint au maire communiste de Pierrefitte. Membre du PPF. Abattu le 44 mai 1943. 

DORIOT (Jacques) : Secrétaire général des Jeunesses Communistes. Membre de l’exécutif du Komintern. Membre du Comité Central du parti Communiste. Député-maire de Saint Denis.Créateur du PPF en 1936, et chef suprême de ce parti collaborateur et pro-nazi pendant la guerre. Il revêt l’uniforme nazi sur le front de l’Est en 1941 et en 1943. 

DUBOIN (Jacques) :Député républicain de gauche de Haute-Savoie. Sous-secrétaire d’Etat au Trésor de Joseph Caillaux. Anime le Mouvement Français pour  l’Abondance. Collaborateur de La France au Travail.

DUMOULIN (Georges) : Mineur gréviste après la catastrophe de Courrières (1906). SFIO. Membre du Comité confédéral national de la CGT. Franc-maçon.Un des dirigeants du RNP, dirigeant de sa filale ouvrière, le Centre Syndicaliste de Propagande (CSP). Collabore au journal L’Atelier (sous le pseudonyme de Georges Dharnes). Collabore à Itinéraires, revue catholique de Jean Madiran.

DUTILLEUL (Pierre) Secrétaire de la Fédération Communiste du Nord. Dirigeant du Secours Ouvrier International. Membre du bureau politique du PPF.  Préside la commission centrale de contrôle politique du PPF.

FAURE (Paul) : Député socialiste. Refuse de témoigner en faveur de Léon Blum au procès de Riom. Siège au Conseil National de Vichy. Antirésistant. Exclus de la SFIO en 1944. Fonde la Parti Socialiste Démocratique.

FÉGY (Camille) : Signataire du manifeste du surréalisme en 1925. Secrétaire de rédaction de l’Humanité. Membre du PPF. Rédacteur en chef du journal La Gerbe.

FERNANDEZ (Ramon) : Ecrivain d’extrême gauche, fils de l’ambassadeur d’Argentine à Paris. Un des créateurs, entre les deux guerre, de l’hebdomadaire de gauche Marianne. Membre du bureau politique du PPF.  Animateur des Cercles Populaires Français. 

FOIRIER (Roger, dit FOLK) : Militant trotskiste. Dessinateur des affiches de propagande des Jeunesses Nationales Populaires.

FONTENOY (Jean) : Militant communiste. Puis crée avec Eugène Deloncle le Mouvement Social Révolutionnaire .Collaborateur et aventurier notoire. Un des fondateurs du RNP. Directeur de l’hebdomadaire Révolution Nationale. Membre de la LVF sur le front de l’est.

FROIDEVAL (Raymond) : Membre de la CGT. Secrétaire du syndicat des serruriers de la Seine. Spécialiste de l’enseignement professionnel. Membre du cabinet de René Belin, ministre du Travail, en 1944-1942. Fondateur du journal Le Front Syndicaliste.

FROSSART (Ludovic-Oscar) : Fondateur du parti Communiste Français en 1920, puis député socialiste. Plusieurs fois ministre entre 1935 et 1940, dans les gouvernements de gauche. Fonde la revue vichyste Le mot d’ordre. Mais étant juif, il ne peut la diriger. Membre du Conseil National de Vichy.

GAILLEDRAT (André) (dit MORGAT) : Membre du Comité Central du Parti Communiste Internationaliste (PCI). Rédacteur de la revue La Vérité. Membre du RNP.

GINOLLIN (Denise) : Dirigeante des Jeunesses Communistes. Négocie avec les services allemands et plus précisément le lieutenant Weber de la Propaganda Staffel la reparution du journal L’Humanité

GIRE (Marcel) : Responsable du Secours Rouge International. Candidat communiste à Gannat pour les législatives de 1936 .Inspecteur régional du PPF. Exécuté sommairement à la Libération.

GITTON Marcel (GIROUX, dit ) Secrétaire confédéral de la CGTSecrétaire du parti Communiste, député communiste de la Seine.F ondateur du Bloc Ouvrier et Paysan. En 1941, collabore au Cri du Peuple, organe du PPF.

GRISONI  (André) : Député-maire radical de Courbevoie. Franc-maçon, membre de la loge parisienne « Emile Zola ».Maire de Courbevoie jusqu’en juillet 1944. Président de l’Union des maires de la Seine. Membre du RNP.

GUILBAUD (Georges) : Militant communiste, ancien des Brigades Internationales. Plénipotentiaire du gouvernement de Vichy. Ambassadeur de France auprès de la République de Salò.

HUEBER (Charles) : Député communiste du Bas-Rhin. Se rallie au national socialisme. Nommé par les autorités allemandes en 1942 membre du Conseil municipal consultatif de Strasbourg. Mort en 1942.

JACOB (Henri) : Membre du Comité central du PC. Délégué au Comité Exécutif de l’Internationale Communiste. Membre en 1944 du RNP, puis en 1943 du PPF. Rédacteur au Cri du peuple. Condamné aux travaux forcés à perpétuité.

JAMET (Claude) : Universitaire. Secrétaire de la Fédération socialiste de la Vienne. Membre du Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes. Directeur du journal La France socialiste (Collaborateur). Père de Domnique Jamet, journaliste, et  Alain Jamet, membre du bureau politique du Front National.

JOSPIN (Robert) : Militant pacifiste, membre de la SFIO. Le père de Lionel, qui a caché son passé trotskiste. Rédacteur à Germinal. Conseiller municipal de Meudon en 1944, nommé par le gouvernement Laval. Epuré et exclus de la SFIO en 1944, qu’il réintègrera quelques années plus tard. 

LAFAYE (Gabriel) : Député socialiste de la Gironde depuis 1928. Sous-secrétaire d’Etat au Travail en 1938. Membre de la commission permanente du RNP. Théoricien du parti unique. Fondateur du journal L’atelier et collaborateur à La France socialiste.Condamné en 1948 à l’indignité nationale à vie.

LA FOUCHARDIÈRE (Georges De) : Rédacteur au Canard Enchaîné. Anticlérical et anarchiste. Rédacteur à L’Oeuvre de Marcel Déat. 

LAGARDELLE (Hubert) : Penseur socialiste et théoricien du syndicalisme révolutionnaire et de la grève générale. Il fonde la revue Le Mouvement Socialiste en 1899. Adversaire de gauche de Jean Jaurès. Admirateur de Mussolini. Ministre du travail de Pétain. Puis il devient  rédacteur en chef du journal collaborateur de gauche La France Socialiste. Un des théoriciens de la Révolution nationale.Condamné à la prison à perpétuité en 1946.

LAPORTE (Maurice) : Fondateur et secrétaire général des Jeunesses  communistes. Collaborateur de la presse doriotiste. 

LAVAL (Pierre) : Avocat des organisations ouvrières et syndicales. Député socialiste. Ministre.Chef du gouvernement de Vichy. Le grand artisan de la Collaboration.Condamné à mort et exécuté.

LEVILLAIN (Maurice) : Conseiller municipal socialiste-SFIO de Paris ; Conseiller général de la Seine.Vice-président du RNP, membre de la Commission permanente.Condamné aux travaux forcés à perpétuité.

LUCHAIRE (Jean) : Un des dirigeants des Jeunesses Radicales. Fonde en 1940 Les Nouveaux Temps.  Président de la Corporation nationale de la Presse Française. Condamné à mort et fusillé le 22 février 1946.

MAHÉ (André) (dit Alain SERGENT) : Militant communiste en 1936, puis anarchiste. Rédacteur au journal Le Libertaire. Fondateur de la Bourse du Travail de Nemours. Membre du PPF, puis du MSR.  Co-signataire, avec Raymond Abellio, du livre raciste et national-socialiste La Fin du Nihilisme. 

MARION (Paul) : Membre du Comité Central du Parti Communiste. En 1929, membre du bureau de propagande du Komintern. Adhère en 1936 au PPF. En 1942, siège dans le gouvernement de Vichy en tant que Ministre de l’Information et de la Propagande. Président du Comité des Amis de la Waffen SS française. Condamné à dix ans de réclusion criminelle.

MARQUES-RIVIERE (Jean RIVIERE, dit) : Membre de la Grande Loge de France. De 1941 à 1944, rédacteur en chef des Documents Maçonniques. Actif au ministère de la Justice de Vichy contre ses anciens co-religionnaires.

MARQUET (Adrien) : Député-maire socialiste de Bordeaux. Partisan actif et déclaré de la Collaboration. Condamné à 10 ans d’indignité nationale.

MARCHANDEAU (Paul) : Ministre radical.  Franc-maçon membre de la loge de Reims« La Sincérité ». Jusqu’en 1944, président de l’Association des Maires de France. PDG de L’Eclaireur de l’Est, journal collaborationiste dont plusieurs éditoriaux étaient franchement antisémites. L’Eclaireur de l’Est est interdit après la guerre, et les journalistes condamnés. 

MARSCHALL (Marcel) : Membre du Parti Communiste. Membre du PPF. Maire de Saint Denis et Conseiller général de la Seine. Condamné à mort en janvier 1948, peine commuée en travaux forcés à perpétuité.

MASBATIN (Armand) : Secrétaire de l’Union CGT des syndicats de la Haute-Vienne. Membre du Conseil National du gouvernement de Vichy. Collabore au journal Au Travail. Exclus à vie de toute organisation syndicale.

MÉRIEUX (Oscar) : Premier adjoint au maire communiste de Stains.Membre du PPF. Collabore au journal Le Cri du Peuple. Arrêté en Italie et écroué à Fresnes.

MESNARD (René) : Socialiste dès 1916 ; syndicaliste CGT. Membre du RNP. Dirige le journal L’Atelier. Créateur du Centre Syndicaliste de Propagande, puis du Front Social du Travail. Président du COSI. Se réfugie en Allemagne. 

MILLION (Francis) : Orateur CGT. Directeur du quotidien cégétiste Le Peuple jusqu’en 1936. Secrétaire général à la Main d’Oeuvre et aux Assurances sociales du Maréchal Pétain.

MONTAGNON (Barthélémy) : Député socialiste de Paris, Franc-maçon. Auteur de Grandeur et servitude socialiste (1929). Membre de la Commission Permanente du RNP. Collaborateur de L’Oeuvre et des Nouveaux Temps. 

MONTIGNY (Jean) : Collaborateur de Joseph Caillaux. Député radical de la Sarthe. Membre du Conseil National du gouvernement de Vichy en 1944.

MONZIE (Anatole de) : Député socialiste, sénateur, plusieurs fois ministre. Admirateur de Mussolini, Partisan des accords de Munich, modèle de la tolérance à la française. Ecrit dans divers journaux collaborateurs de gauche comme Le Rouge et le Bleu.

OUETTE (Marcel) : Dirigeant des Jeunesses Communistesà Saint Denis. Membre du PPF. Se réfugie en Allemagne.

PAPON (Maurice) : Haut fonctionnaire républicain. Pendant la guerre, secrétaire général de la préfecture de Gironde et organisateur de convois de déportation. Milite à la Ligue d'action universitaire républicaine et socialiste aux côtés de Pierre Mendès France. Il est introduit par son père auprès d'amis politiques députés, très influents dans le Parti républicain, radical et radical-socialiste. 

PAQUEREAUX (Marius) : Maire communiste d’Athis-Mons. Membre du PPF. Exécuté sommairement en 1944.

PEMJEAN (Pierre Lucien) : Arrêté pour anarchisme en 1893. Directeur littéraire, écrivain et journaliste antisémite dès sa sortie de prison et jusqu’à sa mort en 1945.

PEYROUTON (Marcel) : Franc-maçon, membre de la loge parisienne « Action ». Ministre de l’Intérieur du gouvernement de Vichy. Un des signataires de la loi sur le statut des Juifs du 3 octobre 1940. Arrêté en 1944.

POISSON (Roger) : Combattant dans les Brigades Internationales. Militant au Parti Socialiste Ouvrier et paysan, PSOP. Membre du RNP. Puis cadre la Milice.

RENAUD Henri (JACOB, dit ) : Délégué de l’Internationale Communiste. Membre du PPF. Collabore au journal Le Cri du Peuple.

RENON (Fernand) : Vice-président de la Fédération des Oeuvres Laïques (FOL) de Seine-et-Oise. Membre de la LPF.

RICHE (Paul) (MAMY Jean, dit) : Vénérable de la loge « Ernest Renan » du Grand Orient de France. Partisan affiché de la Collaboration dès 1940. Rédacteur à L’Appel. Condamné à mort et fusillé.

RIVES (Paul) : Philosophe. Député socialiste de l’Allier. Membre du Grand Orient de France. Membre du RNP de Marcel Déat. Directeur du journal L’Effort. Collabore au journal Le Rouge et le Bleu.

RIVET (Jules) : Franc-maçon et anarchiste. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il écrit des articles dans Le Petit Parisien, devenu journal de collaboration. Il ne reviendra pas à la rédaction du Canard enchaîné, à la Libération, mourant 18 mois plus tard. 

RIVOLLET (Georges) : Franc-maçon. Député de gauche, Ministre des Anciens combattants, membre de la direction du RNP.

ROCHE (Emile) : Membre du Comité Exécutif du Parti Radical. Membre de la Grande Loge de France (« Les amitiés internationales »). Collaborateur des Nouveaux Temps, quotidien du soir de la presse collaborationniste française

SABIANI (Simon) : Député communiste, puis député socialiste de Marseille. Responsable du PPF à Marseille. Il est aussi secrétaire général de la LVF en zone sud. Réfugié en Espagne. 

SABLEAU (Maurice) : Secrétaire des Jeunesses Radicales. Membre du Comité de Rassemblement pour la Révolution Nationale.

SAINT-LOUP (Marc AUGIER, dit ) : Membre éminent du Centre Laïc des Auberges de jeunesse. Membre du Parti Socialiste, du Syndicat National des Instituteurs, et du cabinet Léo Lagrange dans le gouvernement du Front Populaire (1936). Membre de la LVF. Fondateur du journal Le Combattant Européen. Collabore à La Gerbeet à Devenir, organe des Waffen SS. En 1944, officier politique de la brigade de Waffen SS « Charlemagne ». S’enfuit en Argentine. Revient en France en 1950. 

SILLY (Roland) : Secrétaire de la section CGT des techniciens. Membre du parti Socialiste SFIO. Un des dirigeants du RNP. Chef des Jeunesses Nationales Populaires.

SOUPAULT  (Ralph) : Caricaturiste politique à L’Humanité, puis à L’Action Française. Secrétaire général du PPF pour Paris-ville. Dessinateur vedette de Je Suis partout.Se convertit au christiannisme. Dessinateur à Rivarol sous le pseudonyme de Leno.

SOUPÉ (Fernand) : Maire communiste de Montreuil. Membre du Comité central. Membre du PPF. Condamné pour « intelligence avec l’ennemi » et « complicité de séquestration ». 

SPINASSE (Charles) : Député-maire socialiste de Tulle. Ministre de l’Economie du Front Populaire en 1936. De 1940 à 1942, Directeur de l’hebdomadaire collabo Le Rouge et le Bleu. Exclus de la SFIO à la Libération. Soutien J. Chirac dans les années 60. .

TASCA (Angelo) : Un des fondateurs du parti Communiste italien. Représentant du PCI au sein de l’Internationale Communiste en 1928. Se réfugie à Paris et adgère à la SFIO en 1934. Partisan de la collaboration après la victoire allemande de 1940. Ecrit dans l’Effort des articles en faveur de la collaboration. Il devient haut fonctionnaire du gouvernement de Vichy, en charge de la propagande de la Révolution Nationale. Père de Catherine Tasca.

TEULADE (Jules) : Secrétaire de la fédération CGTU du Bâtiment. Secrétaire fédéral du PC de Seine-et-Oise, puis délégué de l’Internationale Ouvrière pour l’Algérie. Collabore au journal L’Humanité. Créateur et membre du bureau politique du PPF. Dirigeant du COSI (Comité Ouvrier de Secours Immédiat). 

THUROTTE (Pierre) : Conseiller municipal socialiste de Saint Quentin. Délégué national à la propagande du mouvement antifasciste Amsterdam-Pleyel. Membre du bureau politique du PPF, secrétaire national à la propagande.

VINCENT (Émile BOURGÈRE, dit ) : Collaborateur du journal L’Humanité. Chef du bureau de presse du PPF.

YVETOT (Georges) : Né en 1868. Anarcho-syndicaliste, un des fondateurs de la CGT. Secrétaire des Bourses du Travail. Rédacteur au journal Le Libertaire. Animateur du COSI. Propagandiste de la Révolution nationale du Maréchal. 

ZORETTI (Ludovic) : Fondateur du syndicat universitaire SNE-Sup. Universitaire et écrivain de gauche. Collabore au journal L’Oeuvre ainsi qu’à L’Atelier. Délégué du RNP pour la zone sud, il est aussi un des dirigeants du COSI. Condamné à sept ans de réclusion ; meurt au camp de Carrère, près de Villeneuve sur Lot.

ZUCARELLI (Guy) : Membre du parti radical, proche d’Aristide Briand. Rédacteur en chef jusqu’en 1942 de Notre Temps, journal collaborateur et pro-nazi .

Petit aveu en lousdé !

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Regardez l’affiche de la prochaine fête de l’huma, sur la gauche en tout petit ! Vous l’avez reconnu ? C’est Pif le chien ! Le mignon petit chien, héros d’une bande dessinée à succès des années 70-80, nommée « Pif Gadget », celle qui a bercé toute une génération de bambins. 

Aujourd’hui tout le monde sait que cette revue était un outil de propagande déguisé des cocos et une méthode de financement par le PCF. Mais à l’époque, c’était l'omerta totale, juste une rumeur de fachos réservée au seul journal Minute, un peu du genre de la fille à Mitterand ou de sa Francisque vichyste !

Du coup, j’essaye d’imaginer ce qu’il se serait passé si on avait découvert que c’était le RPR derrière la BD Gaston Lagaffe ou les Marsupilamis ? Imaginez le scandale et l’indignation générale, encore aujourd’hui de nos meRdias : « Comment ! Manipuler la jeunesse ! Quelle honte ! Pire que le maccartisme ! ». Arte et La Chaîne Parlementaire n’oublieraient pas de nous diffuser régulièrement leur docu-reportage sur cette manipulation de masse, digne des annales du «complot capitaliste».

Du coup aussi, je comprends mieux pourquoi cette génération Pif Gadget a basculé, une fois adulte, dans la soupe néo-gauchiste à base de SOS-racisme, Canal+, Télérama, et le journal Libé.

Sans honte, plusieurs dizaines de milliers de personnes festoieront de nouveau dimanche en l’honneur de l’idéologie la plus meurtrière de toute l’histoire de l’humanité. Et ils ont osé donner le nom "Humanité"à leur journal ! ! ! Additionnez tous les morts dus aux religions de toute l’histoire du monde … et vous serez encore loin de ceux des communistes en moins de 50 ans ! 

Le Droitiste

Merci camarade Rouillan pour ton courage !

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Si, si… il faut louer son courage ! Lui, au moins, ose dire tout haut ce que pensent les ANTIFA tout bas ! Lui ose briser l’omerta de toute cette extrême gauche française, obligée de se cacher derrière des arguties anti-racistes pour masquer son admiration envers tous ces guérilleros tiers-mondistes, fusent-ils terroristes et islamistes, dés lors qu’ils réussissent à porter des coups mortels au monde occidental (blanc et judéo-chrétien de préférence). 

Il faut bien lui reconnaître ce mérite : l’extrême gauche n’a jamais trahi son allié islamiste, et ce ne sont pas ces deux photos de drapeaux des ANTIFA au milieu de combattant kurdes, face à Daesh, qui feront illusion. 

Les historiens du terrorisme moderne ont depuis longtemps exhumé la collaboration étroite des rouges et des verts musulmans, sous la houlette de l’ex-RDA (du FPLP à Carlos, en passant par les camps d’entraînement de Kadhafi). Sunnites ou Chiites, peu importe ! En 2006, le PC libanais était aux côtés des milices du Hezbollah dans le conflit israélo-libanais.

Joëlle Aubron, la grognasse de Rouillan et
membre d'Action Directe. La photo parle d'elle-même !

Toujours fidèles en amitié que ce soit contre les chrétiens du Liban, les Israéliens (et les juifs en général, antisémitisme déguisé oblige) et toutes les armées occidentales en intervention dans un pays musulman : Algérie, Suez, Beyrouth, Libye,… Quand elle n’envoyait pas ses propres mercenaires et apprentis terroristes sur le terrain ou dans des camps d’entraînements moyen-orientaux, l’extrême-gauche faisait de l’agit-prop sur nos campus en fustigeant l’impérialisme ou en promouvant l’antimilitarisme et le pacifisme (Irak, Somalie, Afghanistan,…).

Les addicts du web comme moi, ont depuis longtemps constaté qu’à chaque attentat islamiste en France, les pages facebook et les sites d’extrême gauche (notamment celui du NPA) ne publient jamais de communiquer d’indignation ou de solidarité envers les victimes, mais balancent sciemment des articles sur la crise sociale, façon discrète d’accréditer la bonne vielle thèse complotiste musulmane : terrorisme islamiste = manipulation d’état pour faire diversion et briser la lutte des classes !


Quand viendra le grand nettoyage de l’ «Opération Ronces », ne vous faites aucune illusion : l’extrême gauche sera aux côtés des barbus comme elle le fut lors des manifestations pro-hamas à Paris en juillet 2014. 

Le Droitiste

Photo de vacances qui en dit long

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C'était sur mon parcours des vacances, au bord d'une nationale, dans un village prés de Carcassonne, Trébes exactement. J'ai fait un arrêt pour prendre la photo car je voulais absolument cette preuve.

N’y voyez pas une quelconque plaidoirie pro-FN ou un truc de ce genre (n’étant pas un sectateur de ce Parti, sans en être un adversaire borné) mais plutôt un cri d’alarme contre les adversaires de la démocratie, les opposants au processus électoral, prêts à passer à la violence sans le moindre état d'âme. 

Pour moi, cette photo préfigure parfaitement l’année 2017, celle du chaos que prépare l’extrême gauche au nom du prétendu combat anti-FN, après ses scores aux présidentielles et aux législatives. Sivens, Notre-Dame-des-Landes, Nuit debout, les manifs contre la loi travail,… étaient juste des préliminaires.

Eh oui, il existe en France des fachos rouges, des Sections d’Assauts gauchardes. Mais comme les meRdias l’imposent depuis 30 ans : le danger vient forcement des idées de droite. Dormez les manipulés !

Le Droitiste


Cette salope de Che !

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Ca commence mal, ils m’ont déjà vénère pour la rentrée. En traînant à GIFI pour de menus changements de déco d’intérieur, je tombe nez à nez avec un coffre de rangement à l’effigie de Che Guevara ! 

A GIFI, le magasin grand public… pas un vulgaire brocanteur de Seine-Saint-Denis la rouge ! Et par la marque Curver en plus, leader européen dans son domaine ! Imaginez des objets en grande surface avec des visages de Pinochet ?

C’est là que tu mesures l’efficacité de la propagande gauchiste en Occident, faire passer une salope d’assassin communiste, négrophobe, homophobe, antisémite,... en icône de grande surface. 

Au risque de refaire un énième copier-coller, voici un petit florilège du Che pour les ignorants : 

"Le nègre est indolent et paresseux, et dépense son argent dans des frivolités..." 

"La première personne sur qui nous frappons était le maire, quelqu'un appelé Cohen; nous avions beaucoup entendu parler de lui, qu'il était juif et qu’il n’était intéressé que par l’argent, ce qui régla son sort..." 

"L'épisode nous vexe un peu, parce que l’homme, était en plus homosexuel et un ennemi de la classe ouvrière..."

NB : Selon le sociologue Vincent Bloch, « L’édification de l’homme nouveau » est utilisé comme « prétexte idéologique » par le régime castriste pendant les années 1960 pour écarter tous les « diversionnistes » comme les hippies, les homosexuels, les témoins de Jéhovah, ou les « non fiables » qui sont placés dans des « camps de concentration, appelés Unités militaires d’aide à la production (UMAP).

Le Droitiste

Communisme/Islamisme, même combat !

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Cette fois, direction la Corée du Nord ! 

Vous êtes sans doute nombreux à vous convaincre que les essais nucléaires de Kim Jong-un sont du pipi de chat ! Après tout, ses petites bombinettes, à peine plus forte qu’Hiroshima, flirtent avec l’amateurisme ! Et puis le Pakistan et l’Inde, deux pays du tiers-monde en conflit perpétuel, ont bien un programme nucléaire sans conséquences graves pour le reste du monde ! Et puis la Chine veillera au grain le moment venu ! Et puis, et puis…

Mais vous vous gourez complètement ! En réalité le danger ne vient pas de la Corée du Nord elle-même mais de son second plus grand allié (après la Chine), en recherche d’un programme nucléaire militaire depuis 20 ans : la république islamique d’Iran ! Vous savez, ce pays ayant basculé le premier dans le Moyen Âge coranique, sous la houlette d’un Ayatollah pédophile et admirateur des thèses d’Hassan el-Banna (le fondateur des Frères Musulmans islamistes, pourtant sunnite) ! Ce même pays qui promet la destruction des USA et d’Israël en permanence, tout comme la Corée du Nord… qui se ressemble, s’assemble ! 

Rappelez-vous, c’était en mars 2016 : La Corée du Nord a menacé Israël de l’effacer de la surface de la Terre si elle intervenait encore sur les bombardements en Syrie ou interceptait un survol en territoire syrien !

Le 12 décembre 2012, l'Iran avait félicité la Corée du Nord pour le lancement de sa fusée Kwangmyŏngsŏng 3. Selon la Corée du Sud, des experts iraniens auraient contribué à la conception de la fusée.

Ah oui, de nombreux membres du Hezbollah ont été entraînés en Corée du Nord, dont son secrétaire général Hassan Nasrallah, son général en chef Mustafa Badreddine, et Ibrahim Akil, chef des services de sécurité et de renseignement. En 1989, juste avant qu’il devienne leader suprême, Ali Khamenei s’est également rendu à Pyongyang.

Ce n’est pas fini, la Corée du Nord aide aussi les islamistes sunnites palestiniens du Hamas. Je vous laisse lire tout cela dans un article de Dreuz.info : La Coree-du-Nord derrière la construction des tunnels du Hamas

Soyez en sûr : une bombe nucléaire nord-coréenne stable finira immanquablement dans les mains des pires ennemis de l’occident : les islamistes !

Le Droitiste

La LDJ et le 11 septembre 2001

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Qu’elle rapport entre la LDJ et les attentats du 11 septembre ? 

Retour en 1990. Le fondateur de la LDJ, Meir Kahane, se fait assassiner par un islamiste à New-York dans un hôtel. Son nom : El Sayyid Nosair, un immigré égyptien venu s’installer en 1981 aux USA mais qui va très vite exprimer une aversion pour la culture de son pays d’adoption et basculer dans l’islamisme (parcours désormais classique de nos "chances pour l’occident"). 

Notre apprenti islamiste avait commencé par fréquenter, au milieu des années 80, la mosquée Al-Farooq de Brooklyn où il a fait la rencontre d’autres islamistes en herbe sous la houlette d’imans radicaux. Ce petit monde formera une cellule terroriste et préméditera plusieurs assassinats et attentats. Ils envisageront, par exemple, d’assassiner Gorbatchev en visite officiel à New-York, mais abandonnent. Idem avec Ariel Sharon. 

Le grand fait d’arme de cette cellule sera l’attentat du World Trade Center, le 26 février 1993 avec l’intention de faire s’effondrer une tour (depuis son parking souterain) pour qu’elle percute la suivante. Etonnant cette similitude avec l’attentat du 11 septembre 2001 et cette volonté de faire tomber, non pas une, mais les deux en même temps. Plus tard, on apprendra que cette petite katiba new-yorkaise avait prêtée allégeance à Al-Qaïda, commandée par… Ben Laden !

A la même période, Nosair fréquente une association chargée de collecter des fonds pour soutenir les moudjahidins en Afghanistan contre l’URSS. Et devinez qui est le fondateur de cette association ? Oussama Ben Laden, encore !

Ce n’est pas fini ! Qui va payer sa défense juridique à son procès pour l'assassinat de Meir Kahane (via une collecte de fond effectuée en Arabie Saoudite), Oussama Ben Laden, toujours ! 

Je récapitule : l’assassinat du fondateur de la LDJ, en 1990, a eu lieu 3 ans avant le premier attentat du World Trade Center et 11 ans avant le deuxième. Et pourtant le FBI, n’a rien vu venir ! C’est d’autant plus louche que lors de l’interpellation de Nosair, la police arrête deux hommes, de la cellule Al-Qaïda, dans son appartement puis les relâche faute d’élèments probants. Plus louche encore, elle saisit des caisses de documents, classés immédiatement Top Secret ! ! !


Même dans la mort, on peut dire que Meir Kahane était une sorte d'annonciateur. Sa mort aurait du permettre aux USA de démanteler tout le réseau de son assassin et ouvrir les yeux sur ce qu’il se tramait contre eux de la part de Ben Laden. Mais que dalle ! 

Qui était le président des USA à cette époque ? Ah oui, Bill Clinton (de 1993 à 2001) ! Tout s’explique ! Et dire qu’on risque de se farcir sa femme ! Comment ? En plus, le Président démocrate actuel menace de mettre son veto pour interdire d’éventuelles poursuites contre l’Arabie Saoudite ! Tu m’étonnes !

Le Droitiste

Là, çà ce voit trop !

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Je veux parler de cette compromission de la presse avec l’extrême gauche. 

J’allume mon poste TV ce matin pour checker les news, et voici que je tombe à nouveau sur Olivier Besancenot, assis tout sourire devant une blondasse journaliste pour une longue interview en plateau sur l’actualité, façon "grand homme politique du moment" !!! 

Sans dec’… le petit chef du NPA ! Une association politique extrémiste groupusculaire dont le dernier fait d’arme électorale se chiffre à 0.39% aux régionales 2014 ! ! ! Tellement groupusculaire qu’elle n’était plus en mesure de présenter des listes aux dernières élections françaises de 2015 ! 

Le NPA tourne entre 2000 (chiffres officiels, donc sujet à caution) et 1500 adhérents, presque autant que la Fédération des GoldWing Club de France ! Ca vous dit quelque chose la Fédération des GoldWing Club de France ? Non ! Normal, leur président n’est jamais invité sur un plateau TV en direct pour commenter l’actu. Besancenot, si ! 

A quel titre, ce mec est perpétuellement sur les plateaux TV depuis 15 ans, c’est la grande énigme ! Pourquoi les porte-parole du CPNT, du MPF, du CNI, des divers partis régionalistes,… ne le sont presque jamais, eux qui participent régulièrement aux élections avec souvent des élus ? 

Si les grands médias invitent un représentant d’un groupuscule d’extrême gauche par soucis de pluralité, pourquoi n’invitent-ils pas ceux du Parti de la France ou de Génération Identitaire ? Accrochez-vous : la page facebook des identitaires affiche 117 730 "J’aime" contre " 20 410 " pour le NPA ! 

Au fait, NPA est juste un nouveau sigle en remplacement de l’ancien LCR (Ligue COMMUNISTE Révolutionnaire), elle-même une reconstitution de ligue dissoute (par décret gouvernemental, le 12 juin 1968), dont l'ancien responsable, Alain Krivine, a même été emprisonné ! En autres, la LCR défendait en 1972 la légitimité de la prise d'otages des Jeux olympiques de Munich ! 

Quand les islamistes créeront des partis légaux avec des porte-parole jeunes et aguerris à la manipulation dialectique, vous verrez que les médias collabos feront comme avec Besancenot !

Je le redis encore : le principal ennemi de la France, ce sont ses médias ! 

Le Droitiste 

C’est confirmé, Henri de Lesquen est bien un sale enfoiré de raciste !

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Je me suis autorisé une petite piqûre de rappel lundi en allant écouter le patron de Radio Courtoisie dans son émission du lundi, euh… son monologue masturbatoire, histoire de prendre le pouls de cet hystérique, après la saga déclenchée au printemps avec ses propos provocateurs (voir mon ancien article). 

Je n’ai pas été déçu du voyage. J’ai même eu du bol en tombant pile au moment où il listait pour les auditeurs les entreprises capables de faire votre analyse ADN afin de vérifier votre pureté raciale selon des critères génétiques dont je n’ai pas retenu le principe, tellement je m’en tape ! Lui-même avait livré son résultat par un tweet avec cette envolée : «Je n’ai aucun ancêtre juif et l’analyse génétique l’a confirmé» ! Avec sa fierté affichée, toujours confirmée par l’analyse sanguine, d’avoir des ascendances de conquistador espagnol (non, ce n’est pas une blague !) 

Ouais, on a atteint ce niveau ! Et je vous épargne ses digressions sur «la race nègre» ! Le patron de Radio Courtoisie, pas un skinhead de province ou un militant de la branche française du KKK ! 67 années de maturation, avec un passage par Polytechnique et l’ENA, pour en arriver là ! Il aurait pu au moins nous épargner cette perte de temps : il fallait juste bien lire Mein Kampf ou s’intéresser plus tôt aux travaux du docteur Josef Mengele.

C’est marrant, à chaque fois que quelqu’un se met à défendre la supériorité d’une race, c’est souvent un type dont le physique est l’anti-portait de son combat. Hilter était quand même très éloigné du grand blond et yeux bleus, il était même l’inverse, le genre "plutôt pas gâté par la nature". Lesquen, c’est pareil ! J’ai beau me forcer, je n’arrive pas à voir dans ses traits un bel hidalgo conquistador et encore moins un prototype de l’Indo-européen blanc ! Faites le test si je me trompe : montrez sa photo autour de vous et observez les réactions ! Un truc à faire peur aux enfants et donner envie aux adultes de militer pour la fin de la race blanche ! 

Allez, il faut que j’aille me dépolluer le cerveau pour oublier ce zigomar, échappé de la Famille Addams, et mater un bon film avec une "négresse" comme Hall Berry ou une "juive" comme Scarlett Johansson. Et si j’ai le temps, je me relis un passage de la Bible écrite par des juifs !

Le Droitiste

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